Durant son année de Miss France, Vaimalama Chaves n’était pas du genre à se laisser faire. Mais il y a, malheureusement pour elle, une chose sur laquelle elle n’a eu aucun contrôle.

Ce n’est désormais plus qu’une question de temps. Dans un peu plus d’un mois, Vaimalama Chaves rendra la couronne qu’elle a remportée le 15 décembre dernier et la transmettra à celle qui sera élue miss France le 14 décembre prochain au dôme de Marseille. Et avant même d’abandonner ses fonctions d’ambassadrice de l’Hexagone, Vaimalama Chaves est presque passée à autre chose. Si elle n’avait pas caché ses compétences dans la chanson au cours de ses apparitions publiques, la Tahitienne a concrétisé son talent. Le 6 décembre prochain sortira Good Vaïbes, le premier album de la jeune femme : « J’aborde plusieurs thèmes, l’amour évidemment parce que c’est universel, mais le plus important pour moi, c’est le temps qui passe et que l’on arrive pas à retenir » a-t-elle précisé dans Nice Matin.

Femme-objet pendant un an

Et ses douze mois en tant que Miss France, Vaimalama Chaves ne les a pas vus passer. Mais si elle avoue avoir tiré du positif de son expérience, elle n’en oublie pas les mauvais côtés que le statut de Miss représente. Elle a notamment mal vécu, à l’instar de Mareva Galanter, le fait d’avoir si peu de considération de la part de certaines personnes qu’elle a pu rencontrer : « J’ai regretté de n’être plus considérée comme un individu, mais davantage comme un objet. Miss ou pas, je ne suis pas infaillible, je peux tomber malade, me sentir triste, avoir du mal à sourire ». Un aspect qui lui donne envie de vite abandonner son écharpe, sans nostalgie : « Mon temps de Miss touche à sa fin, et je vais volontiers passer le flambeau ». À qui ? Réponse le 14 décembre.

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