Ce 6 février sur France Inter, un humoriste du service public a ironisé sur l’affaire Denis Brogniart…

Le 27 janvier dernier, Voici sortait dans ses colonnes une affaire à charge contre l’animateur de TF1, Denis Brogniart, un peu trop sanguin, dans les couloirs de la chaîne, qui s’en serait pris à des collègues féminines, avec qui il aurait été violent verbalement. Et tandis que la star du paf vient d’avoir sa statue de cire au musée Grévin, dans la plus grande discrétion, en raison de cette affaire, un humoriste de France Inter a pris sa défense. Pour rire.

« À un moment, ça tape sur le caisson de s’entourer de cons ! »

Daniel Morin a ainsi expliqué dans sa chronique du lundi 6 février, de bon matin : « Mon héros du jour est un homme sur lequel, en ce moment, beaucoup s’acharnent. Je trouve ça profondément injuste. C’est Denis Brogniart« . Avec beaucoup d’ironie, il a estimé : « Suite à certaines révélations, Denis Brogniart passe pour un homme colérique, violent et humiliant. Eh ! Mais attendez, les amis ! Ça fait combien de temps qu’il présente ‘Koh-Lanta’ ? Ça fait combien de temps que chaque année il doit se fader deux équipes de crétins analphabètes ? À un moment, ça tape sur le caisson de s’entourer de cons !« 

Et d’ajouter : « À un moment, tu craques ! Tu exploses ! Tu tabasses ! Tu tambourines !« . Un comportement qui ne serait pas rare au sein du monde de l’audiovisuel… C’est ainsi que Daniel Morin a également cité Michel Drucker qui serait, selon lui, « surnommé par ses équipes ‘La bête' », quand « il est sous pression ». A propos du visage de Vivement dimanche, Daniel Morin s’est lâché : « Il a la rage dans les yeux, il bouffe des oreilles, il pète des genoux ! C’est la pression ça !« 

Poursuivant son numéro, ce lundi matin, Daniel Morin a également plaisanté : « Même moi, qui suis d’un naturel calme, bienveillant, toujours en empathie avec mon prochain. Oui, je l’avoue ! Un jour, il y a un stagiaire qui a fait la mauvaise blague au mauvais moment. Je l’ai jeté par la fenêtre. C’était un stagiaire, hein ! Il n’y a pas eu de suite« .

« Mon admiration pour les adeptes de la tyrannie »

Et de conclure, donc : « Me sentant en hyper connexion avec Denis Brogniart, même si ce n’est pas bien de maltraiter les gens, mon admiration pour les adeptes de la tyrannie fait que je ne peux m’empêcher de lui décerner aujourd’hui le titre de héros du jour« .

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