Depuis près de quinze jours, la princesse Stéphanie de Monaco est confiée à son domicile monégasque. Mais dans cette période trouble, cette mère de famille peut trouver tout de même un point positif. Explications.

Situé entre la France et l’Italie, Monaco n’est pas épargné par le coronavirus. Depuis près de quinze jours, le pays est donc, lui aussi, confiné. Et ce n’est sans doute pas pour déplaire à la princesse Stéphanie de Monaco. La benjamine de Grace Kelly et Rainier III n’aurait (presque) pas pu rêver meilleures conditions d’enfermement. Contrairement à son frère, le prince Albert II de Monaco qui est seul au palais princier – du fait de sa contamination –, elle peut se targuer de profiter de ses enfants. A l’exception néanmoins de son aîné. Jeune marié, Louis Ducruet savoure pleinement son tête-à-tête avec sa chère et tendre, Marie Ducruet dans leur nid douillet. Confinée dans son domicile monégasque, Stéphanie de Monaco a tout de même le plaisir d’être entourée de ses deux filles, Pauline Ducruet et Camille Gottlieb. Ce qui n’était pas arrivé depuis très longtemps.

Et pour cause, Pauline Ducruet vit entre Paris, Monaco et essentiellement New York. Si c’est dans la capitale française qu’elle a dévoilé sa marque de vêtements, Alter Designs, c’est à New York qu’elle l’a créée et qu’elle continue d’y travailler. Mais au moment, du confinement, elle était donc sur le célèbre Rocher. « Depuis que je suis partie de Monaco, on n’a pas passé autant de temps d’affilé ensemble », confirme d’ailleurs la fille de Daniel Ducruet au micro de la chaîne Monaco Info. Et de surenchérir : « On a passé plusieurs semaines ensemble dans la même ville, mais pas sous le même toit ». Cette famille soudée ne manque en effet pas l’occasion de se retrouver. Si l’ambiance y semble joyeux, la petite famille s’est tout de même imposé une règle : s’octroyer un peu de distance. « On essaie de ne pas être les uns sur les autres trop souvent sauf pour les repas », avoue-t-elle. Une manière de faire en sorte que la cohabitation se passe bien, en particulier pour Pauline Ducruet qui a quitté le nid il y a déjà quelques années.

« La première fois que j’ai quitté ma famille, c’était pour m’installer à Paris », expliquait-elle à Point de vue en 2017. Pauline Ducruet y suivait alors des études de mode à l’Institut Marangoni, avant de travailler six mois chez Vuitton. Direction ensuite la Grosse Pomme, alors qu’elle avait tout juste 20 ans. « Mon emménagement à New York ne devait être que provisoire. Et puis, je suis tombée amoureuse de cette ville et j’ai décidé d’y rester », se remémorait-elle. Celle qui a toujours ressenti le besoin de « forger (son) propre caractère, (ses) propres opinions, d’apprendre à (se) débrouiller seule », y a finalement repris ses études au sein de la prestigieuses Parsons School. Mais ce départ n’a pas été que positif. A l’autre bout de l’Atlantique, la jeune femme s’est « rendu compte à quel point il est difficile de partir aussi loin des personne de l’on aime le plus au monde (…) Camille, Louis et moi n’avions jamais été séparés, nous sommes très soudés ». Ces retrouvailles forcées ne peuvent donc que réjouir Stéphanie de Monaco et ses filles.

Source: Lire L’Article Complet