L’animateur vient de se confier pour la première fois sur ses opérations de chirurgie esthétique…

À l’approche de ses 60 ans, qu’il fêtera le 14 novembre prochain avec sérénité (« Franchement, ce cap de la soixantaine, je m’en fiche au plus haut point, car j’ai toujours 20 ans dans la tête ! », a-t-il déclaré dans Télé Star le 14 août dernier), Stéphane Bern est un homme comblé qui file le parfait amour avec son compagnon, Yori Bailleres, et qui présente avec succès Secrets d’Histoire sur France 3. Régulièrement cité parmi les personnalités médiatiques préférées des Français, l’animateur, en pleine force de l’âge, a balayé les doutes et les sarcasmes qui l’entouraient à ses débuts.

Complexé

S’il n’a jamais douté de ses qualités intellectuelles, Stéphane n’a, en revanche, pas toujours été confiant en sa capacité à s’imposer à la télévision où l’apparence importe plus que tout. Comme il vient de le confier à David Castello-Lopes, animateur du podcast Small Talk du média Konbini, il a en effet longtemps été complexé par son physique. Avant même de devenir un personnage public, au milieu des années 90, il avait notamment souffert d’un « mal » fâcheux : la perte prématurée de ses cheveux !

« Entre 25 et 28 ans, ça a été le cauchemar ! », a-t-il lâché à son interlocuteur. Devant sa calvitie naissante, il s’est alors résolu à se faire poser des implants comme nombre de Français touchés par des soucis capillaires. « À 28 ans, j’ai fait les opérations nécessaires […] et depuis, ça tient. Ça tient tout seul depuis trente ans. Sans les arroser ! », plaisante-t-il aujourd’hui.

A-t-il songé depuis à « corriger » d’autres imperfectionsjugées disgracieuses, ses rides par exemple ? Pas vraiment, à l’écouter. « Je n’ai pas une passion pour mon physique. Les gens me disent que je me bonifie en vieillissant. C’est vrai que j’étais vieux à 20 ans et que j’ai rajeuni à 40. Donc à 60 ans, on commence à s’accepter. » Une leçon de vie à méditer.

Louis-Paul CLÉMENT

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