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Invitée sur le plateau de Ça commence aujourd’hui, le 22 mai 2020, Sophie Favier a confié à Faustine Bollaert les nombreuses critiques sur son poids dont elle a été victime.

Elles ont connu les strass et les paillettes, mais ont préféré s’en éloigner. Vendredi 22 mai 2020, Faustine Bollaert a reçu sur le plateau de Ça commence aujourd’hui des personnalités bien connues des Français. Sur les célèbres fauteuils de France 2, les téléspectateurs ont reconnu l’ancienne reine de beauté Cindy Fabre, la comédienne Adeline Blondieau, l’animatrice Véronique Mounier et Gérard Vivès connu pour son rôle dans la sitcom Les filles d’à côté. Également présente, Sophie Favier s’est confiée sur ses rêves de petite fille, sa carrière à la télévision et son retour à la vie normale loin des projecteurs.

Bien qu’elle trouve “toujours cela merveilleux” d’être reconnue dans la rue “que l’on sache mon âge, le prénom de ma fille, des choses plus intimes” ou « d’avoir droit à la meilleure table dans un restaurant avec une coupe de champagne”, elle admet que la notoriété ne l’a jamais “troublée”. Loin du monde de la télévision depuis « une dizaine d’années », elle raconte avoir mis un terme à sa carrière “parce que je devenais systématiquement une invité. On me demandait de venir faire le clown, ce que je savais très bien faire chez Dechavanne en direct et puis finalement, ça ne le remplit pas mon frigo”. Face à ce constat, elle estime “ne pas être une comédienne” ou devoir “servir la soupe à des gens qui finalement s’en foutent”.

“Les gens sont très, très durs »

Si elle ne regrette pas ses heures de gloire, Sophie Favier a connu le revers de la médaille. Celle qui a toujours assumé son cheveux sur la langue, a dû faire face aux critiques sur son poids. “J’ai longtemps eu un souci avec la nourriture (…). J’adore les grandes tables et j’adore manger”, commence-t-elle par expliquer. “À un moment donné, je mettais des grandes robes, un peu plus amples. C’est que je me laissais aller”. Constamment exposée au regard du public, celui-ci n’a pas manqué de pointer du doigts ses formes. “Quand les gens vous croisent dans la rue : ‘Ah, mais finalement elle est petite et puis elle est boulotte… Je finissais par en souffrir”, s’est-elle souvenue.“Les gens sont très, très durs. Il y a une violence et moi, je suis dans l’émotion”. En réaction à ces remarques, « je me suis mise à manger”. Un témoignage, qu’elle conclut avec le sourire : “Voilà, je ne suis pas parfaite”.

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