Depuis le Megxit, ils se présentent comme indissociables. Mais les Sussex prennent chaque jour un peu plus leur indépendance… jusqu’à ne plus dormir ensemble.

Six cents invités triés sur le volet, deux milliards de téléspectateurs dans le monde, une robe estimée à 230 000 euros et un voile ayant nécessité cinq cents heures de travail… Sans oublier quelques dizaines de polémiques et un grand absent, le père de la mariée… C’était il y a cinq ans. Le 19 mai 2018, Meghan et Harry se disaient oui, envers et contre tous. Le couronnement d’une romance pour laquelle ils étaient prêts à tous les sacrifices, l’actrice renonçant à sa carrière lorsque son prince, lui, renierait sa famille. Bref, un duo qui semblait jusque-là indestructible. Mais quelques jours après cet anniversaire, les parents d’Archie et de Lilibet voient toutefois l’image de leur bonheur conjugal terriblement écornée ! Le couple lové sur le canapé d’Oprah Winfrey ? Les amoureux posant enlacés ? Un exercice de com qui masquerait une réalité plus sombre… C’est en tout cas ce qui ressort d’une enquête du très sérieux Telegraph, selon laquelle Harry aurait de grosses envies d’indépendance. Incroyable mais vrai, le trentenaire découcherait même régulièrement et aurait ses habitudes dans deux hôtels californiens ! Le premier est un complexe ultra exclusif de West Hollywood, les San Vicente Bungalows. “C’est un endroit où Harry aime s’échapper”, confirme un proche.

Le prince dort à l’hôtel !

©Bestimage

Étonnant de s’évader à une heure et demie de chez lui, mais passe encore… Ce n’est rien comparé à son second QG, encore plus surprenant. Il s’agit d’un hôtel de luxe à Montecito, soit la ville même où les Sussex ont élu résidence ! “Une chambre y est réservée en permanence pour les petits séjours en solo de Harry”, dixit une source bien informée. Régulièrement, le roux s’offrirait donc un break dans ce palace, le temps de se ressourcer sans Meghan. Un besoin étrange avec, à quelques minutes de là, une propriété comme la leur ! On pourrait en eff et penser que, dans une maison de 1 350 m2 , avec neuf chambres et seize salles de bains, Harry trouverait bien un coin où s’isoler. Sauf que, visiblement, la méga villa ne suffi t pas au prince et à son épouse… Au lendemain de cette révélation, un représentant du couple a tenté de désamorcer la bombe en niant l’existence de cette garçonnière. Peine perdue. Comme si, entre eux, les tensions occupaient désormais tout l’espace. “Ils sont un couple marié depuis cinq ans, qui a traversé beaucoup d’épreuves !” tempère un membre de leur entourage. De ce côté-là, c’est sûr que l’union des Sussex n’est pas une lune de miel. Megxit, guerre contre Buckingham, conflits avec le clan Markle, procès intenté à la presse anglaise… Sans oublier, bien sûr, l’épineux dossier du sacre de Charles III, qu’a snobé la brune alors que son chéri rejoignait les siens… Tant de fights mettraient n’importe quel mariage sous haute tension. D’autant qu’en Californie, Harry est seul, très seul, sans pote à qui se confier. “Même parmi ses anciens amis, plus personne ne lui parle vraiment, poursuit un proche. Il est devenu autocentré, très narcissique, et ne s’intéresse pas aux autres.” De quoi peser encore sur le couple, et tourmenter un Harry esseulé quand Meg, elle, a toute sa vie en Californie. Fin avril, lors d’un match de basket, une caméra surprenait d’ailleurs des regards ultra froids entre eux. Et l’absence de l’ex-comédienne durant la promo de Spare, les Mémoires de Harry, n’est peut-être pas anodine. À quelques jours de l’anniversaire de leur fi lle, qui fêtera ses 2 ans le 4 juin, les Sussex ne sont donc pas à la fête… En espérant que leur union ne parte pas en fumée, juste après leurs noces de bois.

Maëlle Brun

Info+

Ont-ils vraiment frôlé la mort ?

Les Sussex l’affirment : ce 16 mai, ils ont failli avoir un accident fatal à New York, façon Lady Di, alors qu’ils se trouvaient dans un taxi poursuivi par des paparazzis. Si ce n’est que cette “course-poursuite”, telle que leur porte-parole a décrit la chose, n’en serait pas une ! Outre les photographes, qui nient avoir pris des risques, le chauffeur de taxi lui-même assure n’avoir pas eu peur. Quant à Eric Adams, le maire de New York, il affirme qu’une telle traque ne pourrait avoir lieu dans une ville aussi embouteillée. Les Sussex ont-ils travesti la réalité ? La course à la vérité est lancée.

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