Dans "Les Envoûtés" de Pascal Bonitzer, en salles le 11 décembre, Sara Giraudeau incarne avec conviction une pigiste qui part à la rencontre d’un homme afin d’enquêter sur une mystérieuse histoire de fantôme. Un nouveau rôle qui prouve, s’il en est, l’étendue de sa palette de jeu.

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Qu’avez-vous appris de plus précieux de vos parents ?
Sara Giraudeau :
Ma mère (l’actrice et romancière Anny Duperey, ndlr) m’a donné sa confiance. Quand elle a perdu ses deux parents à 8 ans -ce qui fut un énorme traumatisme-, elle a épousé la résilience pour pouvoir tenir. C’est une douleur qu’on utilise pour construire la vie. Elle ne savait pas comment éduquer les enfants. Elle s’est dit qu’elle nous laisserait nous développer avec son regard aimant, en nous donnant la liberté nécessaire à notre épanouissement. On n’a pas eu cette épée de Damoclès qui nous interroge sur la manière dont on fait les choses. On était couvés de bienveillance. Mon père était plus stressé. Quand il a vu que j’étais faite pour ce métier, il a lâché prise et a été rassuré. Ça donne de la force quand quelqu’un vous dit : « Fais ce qui est bon, ce que tu sens« .

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