682 jours, le dernier ouvrage signé Roselyne Bachelot, a fait couler beaucoup d’encre ces derniers jours. Ce mardi 10 janvier, l’ancienne ministre de la Culture a une nouvelle fois été taclée, cette fois par un célèbre comédien, dans l’émission Quotidien.

Roselyne Bachelot n’a décidément pas fini de faire parler d’elle ! Dans son dernier ouvrage 682 jours : le bal des hypocrites, paru le 5 janvier dernier aux éditions Plon, l’ancienne ministre de la Culture a réglé ses comptes avec des personnalités politiques, mais également certains acteurs issus du monde culturel. La femme politique est par exemple revenue sur le discours de Jean-Pascal Zadi lors de la cérémonie des César en 2021. Alors qu’il recevait le comédien sur le plateau de Quotidien ce mardi 10 janvier, Yann Barthès s’est permis de relire ce passage du livre de Roselyne Bachelot : « Quelques interpellations vigoureuses, telles celles de Jean-Pascal Zadi sur l’empoisonnement des Antilles par le chlordécone, ce dont les spectateurs, hélas, semblaient se battre les flancs« , a lâché celle qui a récemment taclé Anny Duperey. Une attaque à laquelle Jean-Pascal Zadi a décidé de répondre. Loin d’être offensif, il a préféré botter en touche.

« Elle n’est plus dans le gouvernement ?« , s’est-il interrogé en préambule, avant de poursuivre : « Yann Barthès, écoute-moi bien, je viens en paix. Je viens te parler de la série ‘En place’, j’ai envie de te dire de cette affiche de la série ‘En place’ et te dire que président de la République, ce n’est pas une obsession pour moi, c’est juste que c’est un décor qui me fait rire, la politique ça me fait rire, c’est la raison pour laquelle j’utilise toujours ce décor-là pour m’exprimer« , a-t-il expliqué. « Il a appris la langue de bois…« , a ironisé Yann Barthès. « Non ce n’est pas de la langue de bois« , s’est alors défendu Jean-Pascal Zadi. Et d’ajouter : « Elle ne mérite pas. Je trouve que lui accorder de l’importance, c’est perdre du temps« , a-t-il estimé. Présent à ses côtés dans le talk-show de TMC, Éric Judor s’est permis de souligner : « Non mais elle dit un truc méchant, tu devrais répondre… » « Non, on ne perd pas de temps sur des bails comme ça« , a renchéri le comédien. C’est dit !

>> PHOTOS – Olivier Véran, Roselyne Bachelot… Ces politiques qui ont osé révéler leur salaire

Roselyne Bachelot dans le viseur de Benjamin Biolay

Au moment de la crise sanitaire, Benjamin Biolay a plusieurs fois interpellé celle qui était alors ministre de la Culture, lui demandant de faire un geste pour les artistes qui ont été contraints, pour la plupart, de mettre leur carrière entre parenthèses. Dans son livre 682 jours, la principale intéressée n’a pas tardé à répliquer, reprochant à certains d’entre eux, notamment Benjamin Biolay, d’avoir « joué les victimes sacrifiées alors que l’argent public coulait à flots. » Dans une story Instagram datée du 6 janvier, et alors que Roselyne Bachelot avait de nouveau pointé son « hypocrisie » sur RTL la veille, le chanteur lui a rendu la pareille. En story, l’artiste a partagé la première de couverture de la bande dessinée Tintin avec pour titre : « À la recherche de ta dignité« , en prenant soin de mentionner l’ex-ministre. Une nouvelle sortie qui ne risque pas d’arranger les relations, déjà tendues, entre ces deux personnalités…

Crédits photos : BEST IMAGE

A propos de

  • Abonnez-vous à votre star préférée et recevez ses actus en avant première !

  • Roselyne Bachelot

À découvrir en images

PHOTOS – Olivier Véran, Roselyne Bachelot… Ces politiques qui ont osé révéler leur salaire

Il avait promis de ne « rien cacher » dans son livre. Auteur de Par-delà les vagues (ed. Robert Laffont), un journal de bord sur la crise sanitaire sorti en septembre 2022, Olivier Véran rend public son salaire de ministre.

« Comme tout ministre, je paye mes factures, un loyer au ministère, et je gagne 6500 euros nets par mois après impôt », écrit-il.

Parler cash, Roselyne Bachelot sait faire. Elle le prouve encore en 2013 lorsque, tout juste arrivée sur D8 pour l’émission « Le Grand huit », elle révèle gagner 250 000 euros par an « tout compris« . A l’époque, l’ex-ministre fait également une apparition hebdomadaire sur i-Télé. « Je mène une vie très simple et je vis depuis toujours très en dessous de mes revenus« , confie-t-elle au quotidien suisse Le Matin.

Nommée ministre la Culture en 2020, elle assure avoir perdu « la moitié de ses revenus » en rejoignant le gouvernement.

Autour de

Source: Lire L’Article Complet