Rodrigo Alves ne cessera donc jamais de nous surprendre. Après avoir dépassé le record de soixante-quinze opérations de chirurgie esthétique, celui que l’on surnomme Le Ken Humain s’est relancé dans sa quête sans fin de la perfection. Why not…

Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme ! Jamais maxime n’aura aussi bien correspondu au parcours esthétique de Rodrigo Alves, alias le Ken Humain, alias l’homme aux soixante-quinze opérations chirurgicales. Le jeune homme de 36 ans a beau passer le quart de sa vie sur le billard, il ne semble jamais satisfait de son apparence et vient à nouveau d’en redessiner les traits. Confiant son corps aux experts des cliniques turques, il a fait retirer ses (faux) abdominaux pour les faire injecter… dans ses fesses, tout simplement.

On l’oublie trop souvent, mais Rodrigo Alves n’est pas né dans une usine Mattel. C’est au Brésil, dans la ville de São Paulo, que l’animateur télé a vu le jour en 1983. Et pour que cet élément crucial de son identité reste bien ancré dans l’esprit des téléspectateurs, il a eu recours à ce que l’on appelle un BBL, ou « Brazilian Butt Lift » : une lipostructure des fesses à l’aide du gras de ses tablettes de chocolat… et de celui qu’il a naturellement gagné au niveau du ventre ces derniers mois. Une opération qui fait suite à, entre autres, une retouche du menton, une pose de facettes dentaires et un nombre incalculable de rhinoplasties.

« Il y a huit ans, j’ai subi un ‘Abdominal Etching’ au Brésil, qui m’a donné de faux abdominaux, explique-t-il au Daily Mail. Alors même que les gens trouvaient ça formidable, je ne crois pas que ça donnait une image très juste de moi, puisque je n’avais pas fait de sport pour les avoir. Je les avais juste achetés. Et puis, ça n’allait pas avec le reste de mon corps et ça commençait à faire bizarre. Nouvelle année, nouveau moi ! » Histoire de joindre l’utile à l’agréable, Rodrigo Alves a fait filmer la procédure pour un documentaire réalisé par la télévision allemande. Quel dommage de ne pas y avoir accès en nos frontières…

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