Les scénaristes d’Hollywood n’ont qu’à bien se tenir ! Car ce lundi 19 décembre, Robert de Niro s’est réveillé dans un film d’action digne des plus grands studios. Une cambrioleuse s’était introduite chez lui pour dérober ses cadeaux de Noël…

Une voleuse multi récidiviste s'introduit chez Robert de Niro 

Shanice Aviles, à peine trente ans, n'en est pas à son premier coup d'essai. Et Robert de Niro n'est donc pas la première personne chez qui elle tente de s'introduire illégalement. Disons simplement que, cette fois-ci, son effraction fait la Une des journaux du monde entier. Dans la nuit du 18 au 19 décembre dernier, la jeune femme a en effet tenté de voler des cadeaux de Noël au très célèbre acteur américain, notamment connu pour ses rôles mythiques dans Le Parrain II, Les Affranchis ou encore Casino.

Elle a été prise en flagrant délit par la police de New York qui l'a vue entrer dans la demeure située dans un quartier huppé et ultra sécurisé de l'Upper East Side à Manhattan "par une porte de sous-sol présentant des signes d'effraction". La porte-parole de l'instance américaine a déclaré dans la foulée que les forces de l'ordre avaient en effet "découvert la femme à l'intérieur du salon" en pleine "tentative de subtiliser des biens". 

Robert de Niro était chez lui au moment des faits 

Selon ABC News et NBC News, la suspecte, "connue pour de nombreuses arrestations pour cambriolages", était même en train de se servir au pied du sapin de Noël quand les agents sont arrivés sur place et l'ont découverte. Toujours selon la chaîne d'informations américaine NBC, c'est à ce moment précis que les policiers ont vu Robert De Niro apparaître "en peignoir" dans son propre salon.

L'acteur, qui sera bientôt à l'affiche du prochain film de Martin Scorsese, Killers of the Flower Moon, avait en effet était alerté par le bruit. L'interpellation de Shanice Aviles s'est déroulée dans le plus grand calme. Et la légende dit que Robert de Niro est tranquillement reparti se coucher… 

"Jusqu'alors, les policiers ne connaissaient pas l'identité du propriétaire de la maison. Son agent, Stan Rosenfield, a déclaré que son client se portait bien et qu'il ne ferait pas de déclaration sur l'événement" précisent nos confrères de Vanity Fair.

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