Invitée sur le plateau de "C à vous" sur France 5, Rachida Dati se confie à Anne-Elisabeth Lemoine.
Rachida Dati est au cœur de toutes les discussions ces derniers temps et la raison n’a rien à voir avec sa carrière politique. C’est en 2015 que Rachida Dati a commencé son histoire d’amour avec le Botox et les injections. On se souvient qu’à l’époque, elle était l’invitée de la matinale de France Info et maire du VIIème arrondissement de Paris. Sa transformation physique en avait choqué plus d’un et certains l’avaient même comparé aux frères Bogdanoff ! Ses pommettes étaient gonflées, sa bouche retouchée et tout le reste de son visage assez figé.
En janvier dernier, alors qu’elle était l’invitée de Léa Salamé et Thomas Sotto dans « L’Émission politique – Quand la France se parle » sur France 2, Rachida Dati avait parlé des attaques sur son physique et en avait profité pour pousser un coup de gueule. L’ancienne garde des Sceaux avait confié : « Je ne les lis pas. Comme vous avez pu le voir, je suis encore au Blackberry, je ne suis pas là-dessus. J’ai une famille, j’ai une vie personnelle et intime, ils les lisent et ça leur fait beaucoup de peine. On s’attaque, pour l’essentiel, à mon physique. Pour les hommes, jamais ! Je ne pense pas que vous voyiez défiler devant vous des hommes formidables, très beaux, parfaits ».
Invitée sur le plateau de « C à vous » sur France 5, Rachida Dati a abordé un tout autre sujet. L’ancienne ministre de la justice est revenue sur son enfance modeste dans une cité ouvrière. « On nous renvoie une image qui n’est pas nous. Je n’ai pas de lecture communautaire ou ethnique de ma vie, de mon succès, notamment à l’école. Moi j’ai toujours refusé d’écrire, ou d’instrumentaliser ma vie, mon parcours, je n’ai jamais souhaité en parler, c’est pour ça que certains ont spéculé » a-t-elle confié. Rachida Dati poursuit en expliquant qu’elle a dû se battre très tôt : « J’ai compris que l’école et le travail étaient les clés de ma liberté ». « Ça aurait pu vous donner envie de vous engager à gauche ! », a questionné Anne-Elizabeth Lemoine. « Je suis une enfant de la cité ouvrière. J’étais contente de ça » a-t-elle conclu.
Constance Therapy
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