La date du mariage entre la princesse Mako du Japon et Kei Komuro n’a toujours pas été fixée. Malgré l’approbation du prince héritier Fumihito, ceux qui se sont fiancés en 2017, semblent avoir bien du mal à organiser leurs noces.
Un mariage qui tarde à être prononcé. En septembre 2017, la princesse Mako du Japon et son amoureux rencontré à l’Université de Tokyo prénommé Kei Komuro, se sont fiancés. Mais leur union prévue un an plus tard n’a toujours pas eu lieu. Le 30 novembre dernier, le père de la future mariée, le prince héritier Fumihito, avait beau officiellement déclarer lors d’une conférence de presse à Tokyo avant son 55ème anniversaire, qu’il approuvait le projet de mariage de sa fille, selon nos confrères de Tatler. Les préparatifs semblent pour le moment au point mort.
En novembre dernier, alors que beaucoup s’interrogeaient sur l’annulation ou non des noces, la nièce de l’empereur Naruhito du Japon avait pris la parole et annoncé sa détermination à mener à bien son projet de mariage. « Il est encore difficile d’annoncer quelque chose de précis pour le moment, mais nous allons consulter nos familles afin de procéder au mariage », avait-elle expliqué. Le calendrier n’a pas aidé les deux tourtereaux. L’abdication de l’empereur Akihito en avril 2019 et l’intronisation de Nahurito, le 126ème empereur du Japon en mai 2019, ont remisé leurs noces au second plan. Et la crise sanitaire n’a pas franchement aidé les choses. Autre problème et non des moindres : la famille de Kei Komuro. Les problèmes financiers de la mère du futur marié font jaser, accusée de devoir de l’argent à son ancien compagnon comme le rapportent nos confrères de Point de vue. Une somme d’argent qui aurait permis de financer les études du jeune avocat à New York.
La princesse Mako a dû renoncer à son titre
La loi japonaise précise que les femmes appartenant à la famille impériale doivent renoncer à leur statut royal si elles épousent un non-royal. Pour les beaux yeux de son fiancé, la princesse Mako du Japon doit donc renoncer à son titre. Avant elle, sa tante, la princesse Sayako avait dû abandonner son statut royal lorsqu’elle avait épousé un fonctionnaire de la ville de Tokyo en 2005. Les femmes qui se marient en dehors de la royauté reçoivent toutefois une importante rémunération de l’État lorsqu’elles quittent le foyer impérial.
Crédits photos : Aflo / Bestimage
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