En 1995, après le divorce de Charles et Diana, William n’avait vraiment pas le moral. Le prince Philip a alors eu une idée pour le requinquer, et la reine Elizabeth II y a adhéré tout de suite, rapporte People.

Depuis la mort du prince Philip, la reine Elizabeth II fait davantage confiance à William pour redorer l’image de la royauté britannique, mise à mal par l’exil de Meghan et Harry, mais aussi, et surtout, par les ennuis du prince Andrew. Le prince William a déjà tout d’un roi. Sa grand-mère s’en était d’ailleurs assurée bien avant qu’il n’arrive à l’âge adulte. En 1995, quand le prince Charles et Diana ont divorcé, et que William a commencé à déprimer, Elizabeth II a su lui redonner confiance. Robert Lacey, historien spécialisé dans la royauté britannique, rappelle dans le magazine People de fin septembre que c’est à cette époque que la reine a commencé à déjeuner tous les dimanches avec son petit-fils pour le préparer à ses responsabilités de futur roi.

Le prince Philip a joué un grand rôle dans ce nouveau rituel. Très proche de William, il a vite détecté les signes précurseurs d’une dépression chez le jeune adolescent et a suggéré l’idée à sa royale épouse. Rapidement, alors que ses camarades du collège d’Eton rentraient chez leurs parents le week-end, William avait, lui, le droit à un déjeuner dominical avec ses grands-parents.

Le prince William presque aussi populaire que la Reine

Tous les dimanches midi se déroulaient de la même manière : William arrivait, déjeunait avec ses deux grands-parents, discutait de sa semaine à l’école, puis le prince Philip s’éclipsait quand la discussion commençait à dériver sur le rôle de reine ou de roi. « Philip s’excusait discrètement parce qu’il ne voulait pas interférer sur le côté constitutionnel du travail de la reine », rapporte Robert Lacey dans People.

William a donc appris très jeune à appliquer le mode de fonctionnement d’Elizabeth II : « Never complain, never explain » (en français : ne jamais se plaindre, ne jamais expliquer). Aujourd’hui, c’est certainement ce qui lui a permis d’être le chouchou des admirateurs de la Couronne. La reine a une cote de popularité de 85%, selon un récent sondage. William est à 80%. Une sacrée performance pour un prince héritier.

Article écrit en collaboration avec 6Medias

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