Le prince Harry n’a pas fini de se dévoiler. Ce samedi 4 mars, le mari de Meghan Markle était invité à s’entretenir avec le docteur Gabor Maté, spécialiste des traumatismes liés à l’enfance. Pendant cet échange, le père de famille a évoqué sa consommation de drogues et l’effet salvateur de celles-ci sur son état psychique depuis l’adolescence.
De nouvelles révélations fracassantes. Ce samedi 4 mars, le prince Harry a participé à un échange diffusé sur Zoom et dont l’accès était payant, avec le docteur Gabor Maté, spécialiste en traumatismes liés à l’enfance. Durant cet entretien, le cadet de Charles III, que le roi a récemment expulsé de sa demeure londonienne, a évoqué sans filtre sa consommation de drogues, lorsqu’il était adolescent et jusqu’à sa rencontre avec Meghan Markle. Le frère du prince William a expliqué s’être toujours senti “légèrement différent” du reste de la famille royale britannique et affirmé que le cannabis, qui le faisait se sentir “détendu et léger”, l’avait “aidé” à surmonter ses périodes de spleen, reliées au décès de sa mère.
Interrogé sur son rapport à la cocaïne, le prince a fait preuve d’une grande transparence. “Cela ne m’a rien fait. C’était plus une chose sociale. Ça m’a donné un sentiment d’appartenance à coup sûr. Cela m’a aussi fait me sentir différent de ce que je ressentais, ce qui est en quelque sorte le but”, a-t-il admis. Il a aussi confié avoir consommé des psychédéliques, tel que l’ayahuasca. “C’était le nettoyage du pare-brise, le retrait des filtres de la vie comme sur Instagram. Cela m’a tout enlevé”, s’est-il souvenu. Le petit-fils d’Elizabeth II a aussi précisé que s’il avait commencé à prendre des drogues de manière récréative, il avait ensuite réalisé “à quel point elles étaient bonnes” pour lui et était devenu peu à peu dépendant. À l’époque, les stupéfiants permettaient au prince meurtri de survoler les “douleurs du passé”, comme il l’avait expliqué en détail dans ses mémoires, Le Suppléant, parues le 10 janvier dernier.
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Le prince Harry diagnostiqué en direct
Se comparant beaucoup à sa mère, Lady Diana, le prince Harry a expliqué que son mal-être était en partie lié au fait qu’il s’est senti, une grande partie de son enfance, “étranger” dans le milieu royal. “Je sais que ma mère ressentait la même chose”, a-t-il avancé durant son échange avec le médecin canadien. Harry a également assuré que son épouse, “un être exceptionnel”, avait réussi à le “sauver” car elle venait d’un “monde différent”. Conscient de l’impact de ses traumatismes sur sa manière de concevoir la paternité, le beau-fils de Camilla Parker Bowles a insisté sur le fait qu’il tenait à tenir Archie et Lilibet Diana loin de ses anciens démons. “Je ressens l’énorme responsabilité de ne pas transmettre les traumatismes ou les expériences négatives que j’ai vécus”, a-t-il déclaré.
Face à ces révélations, le docteur Gabor Maté a révélé le résultat de son expertise médicale au prince, en direct. “Que vous le vouliez ou non, je vous ai diagnostiqué un trouble de l’attention. Vous pouvez l’accepter ou le refuser”, a-t-il ainsi lâché, rassurant ensuite son interlocuteur sur les conséquences de ce trouble neurodéveloppemental. “Je ne le vois pas comme une maladie. Je le vois comme une réponse normale à un stress anormal”, a-t-il décrypté. Le trouble déficitaire de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) se manifeste par des difficultés à se concentrer mais aussi des comportements impulsifs. Le Canadien de 79 ans, dont les travaux sont controversés, a finalement assuré que le prince souffrait d’anxiété, de stress post-traumatique et d’une forme de dépression.
Crédits photos : JLPPA / Bestimage
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