Alors qu’ils sont mariés depuis plus de 40 ans, Évelyne ne supportait plus cette “maison du bon Dieu”…
Plastic Bertrand, 69 ans, et son épouse Évelyne se sont connus il y a près de 50 ans, avant que le chanteur belge n’explose avec son tube Ça plane pour moi, en 1977. Mariés depuis 1979, ils ont eu deux enfants et ne se sont jamais quittés.
Le secret de leur union durable ? Vivre séparément. « J’aime cette idée de couple qui habite dans deux endroits, on fonctionne très bien comme ça », affirmait Plastic Bertrand au Parisien en 2020.
Un modèle que Jacques Dutronc et Françoise Hardy ont longuement expérimenté avant de se séparer pour de bon dans les années 90… Le chanteur se partage donc à l’année entre Bruxelles, la France et le Maroc – où il séjourne régulièrement, depuis une quinzaine d’années, dans « une petite médina du XIIIe siècle », avait-il aussi révélé au Parisien.
La capitale belge, où réside Évelyne en permanence, resterait cependant le port d’attache des Jouret (le vrai nom de l’artiste), non loin de leurs enfants et petits-enfants.
Ultimatum
Plastic Bertrand et sa femme y possédaient une maison cossue, dans les beaux quartiers, où de nombreux habitués passaient régulièrement. L’imparfait est de rigueur car Évelyne, il y a quelques mois, a décidé de quitter cette demeure ouverte à tous. Or cette maison aurait en effet suscité l’intérêt de voyous qui l’ont cambriolée à plusieurs reprises !
La dernière fois que cela s’est produit, Évelyne était présente. Même si elle n’a pas subi de violences, elle en aurait gardé un traumatisme qui l’a poussée à adresser un ultimatum au chanteur : moi ou la maison ! Face à sa détermination, Plastic Bertrand aurait obtempéré. Qui ne l’aurait pas fait ?
Le couple aurait donc vendu ce bien chargé de souvenirs et déménagé dans un appartement, plus moderne et sécurisé, situé dans une chic banlieue bruxelloise. Dans le même temps, fidèle à ses habitudes nomades, le chanteur aurait acheté un pied-à-terre à Nîmes, dans la résidence où vit Théo Linder, son manager et ami depuis cinquante ans, et où il se rendrait désormais régulièrement. Loin des yeux, mais près du cœur, on ne change pas une recette qui gagne…
Louis-Paul CLÉMENT
Source: Lire L’Article Complet