Devenir Miss France est une expérience saisissante et qui change à tout jamais celle qui gagne l’élection. Dix ans après avoir emporté le titre, et la couronne, Malika Ménard jette un œil dans le rétroviseur…

Le 14 décembre prochain, la jolie Vaimalama Chavesrendra sa couronne de Miss et c’est un autre visage que le sien qui incarnera l’esprit et la beauté française pendant toute l’année 2020. Alors que les pronostics vont bon train, une ancienne Miss couronnée il y a dix ans aujourd’hui, se retourne sur sa vie depuis la soirée du 5 décembre 2009. Malika Ménard,alors Miss Normandie, avait emporté l’élection face à Miss Rhône-Alpes.

« On grandit évidemment » écrit Malika Ménard

Dans un post Instagram doucement nostalgique, la ravissante brune emprunte les chemins du souvenir :  » Qu’est ce qu’on y perd, qu’est ce qu’on y gagne ? On souhaiterait parfois que le temps nous épargne. On aimerait qu’il se fige, mais on ne décide jamais du moment où il vient se suspendre. Mais quand ça arrive, on se laisse volontiers surprendre. Alors on sourit, le plus sincèrement du monde. On agite une rose parce qu’on n’a plus les mots. On a les joues rosies, et puis, et puis, et puis on est émus. Pour que les grandes choses se fassent, naturellement il faut que le temps passe. Oui mais il passe et s’accélère, exponentiellement. Qui a dit qu’il était régulier le temps ? J’ai découvert mon pays, à la vitesse de la lumière. Dieu qu’ils sont beaux les gens. Beaux dans leurs différences, beaux dans leurs accents. Puis les voyages nous prennent, et puis ils nous ramènent . Et nous, on grandit évidemment. »

A la douceur des souvenirs se mêle la mélancolie du temps où ceux que l’on aimait étaient encore présents comme lorsqu’évoquant ses grands-parents aujourd’hui décédés elle écrit :  » Et à mesure que l’on grandit, ceux qui nous on vu naître sont partis. Il y a ce diadème qui brille toujours autant… cette écharpe, et les trois étoiles que sont devenues mes grands parents. Bien heureusement, le ciel ne vieillit pas, le ciel veille . » Comme toutes les Miss, Malika reconnait avoir eu son lot d’épreuves mais elle affirme fièrement : « J’ai parfois eu l’impression de dévaler une pente, comme prise par le courant, puis rejetée sur le rivage, parfois indemne, et parfois moins. Mais je me suis toujours relevée.C’est à ces cicatrices que je me reconnais. »

Et si la jeune femme ne renie rien de l’expérience, elle est surtout impatiente de la suite : « Quand je regarde derrière, je me dis qu’elle était belle cette lumière. Mais quand je regarde devant, elle est belle, la lumière, au moins tout autant.  » Entre ces deux clichés … dix années d’écoulées » conclut-elle livrant avec son texte une photo datant du soir de son élection et une photo d’elle aujourd’hui, toujours aussi sublime. Le post publié il y a une poignée d’heures a déjà récolté plus de 80 00 likes et les internautes ont accueilli avec tendresse et bienveillance la déclaration à fleur de peau de l’ancienne Miss. Ses copines d’aventure Flora Coquerel, Chloé Mortaud, Rachel Legrain-Trapani, l’humoriste Géremy Crédeville et le tennisman Benoît Paire se sont aussi pressés pour lui dire leur amour et leur admiration. A 32 ans toute l’histoire reste encore à écrire…

View this post on Instagram

Qu’est ce qu’on y perd, qu’est ce qu’on y gagne? On souhaiterait parfois que le temps nous épargne. On aimerait qu’il se fige mais on ne décide jamais du moment où il vient se suspendre. Mais quand ça arrive, on se laisse volontiers surprendre . Alors on sourit, le plus sincèrement du monde. On agite une rose parce qu’on n’a plus les mots. On a les joues rosies, et puis, et puis, et puis on est émus. Pour que les grandes choses se fassent, naturellement il faut que le temps passe. Oui mais il passe et s’accélère, exponentiellement. Qui a dit qu’il était régulier le temps? J’ai découvert mon pays, à la vitesse de la lumière. Dieu qu’ils sont beaux les gens. Beaux dans leurs différences, beaux dans leurs accents. Puis les voyages nous prennent , et puis ils nous ramènent . Et nous, on grandit évidemment. Et à mesure que l’on grandit, ceux qui nous on vu naitre sont partis. Il y a ce diadème qui brille toujours autant … cette écharpe, et les trois étoiles que sont devenues mes grands parents . Bien heureusement, le ciel ne vieillit pas, le ciel veille . J’ai parfois eu l’impression de dévaler une pente, comme prise par le courant, puis rejetée sur le rivage, parfois indemne, et parfois moins. Mais je me suis toujours relevée. C'est à ces cicatrices que je me reconnais . Quand je regarde derrière , je me dis qu’elle était belle cette lumière. Mais quand je regarde devant, elle est belle, la lumière, au moins tout autant. Entre ces deux clichés … dix années d’écoulées . 05/12/09

A post shared by ?????? ?????? (@malikamenard14) on


Source: Lire L’Article Complet