En ce jeudi 25 mars 2021, Simone Signoret aurait dû célébrer son 100ème anniversaire. C’est donc tout naturellement que son petit-fils, le chroniqueur Benjamin Castaldi, lui a adressé un tendre message sur ses réseaux sociaux.
Benjamin Castaldi
Simone Signoret
Benjamin Castaldi est le descendant d’une grande famille d’artistes. Fils de l’animateur Jean-Pierre Castaldi et de l’écrivaine Catherine Allégret, il est aussi le petit-fils de la star de cinéma Simone Signoret. C’est auprès d’elle qu’il a grandi, ainsi que du père adoptif de sa mère, Yves Montand. Un homme qui a vécu une relation passionnelle avec sa grand-mère maternelle, comme il l’a décrit dans son livre Je vous ai tant aimés. Le chroniqueur ne l’a jamais caché : il était très proche de l’actrice décédée en 1985. C’est pourquoi en ce jeudi 25 mars 2021, jour où elle aurait dû fêter son 100ème anniversaire, il lui a adressé un très bel hommage sur sa page Instagram. « Happy birthday …Tu aurais eu 100 ans… Aujourd’hui … Tu vois je n’ai pas oublié je t’aime« , a-t-il écrit en s’adressant directement à elle. Une publication qui a beaucoup fait réagir, à commencer par Liane Foly. Cette dernière s’est montrée très élogieuse à l’égard du chroniqueur en déclarant dans les commentaires : « Immense étoile éternelle. Ton livre est un joyau. Couple éblouissant. Elle est bien près de toi, lui aussi d’ailleurs ».
Quand Benjamin Castaldi évoquait les obsèques de Simone Signoret
Toujours très émotif à l’évocation de sa grand-mère, Benjamin Castaldi avait fait de rares confidences à son sujet dans Touche pas à mon poste. Le papa de Julien, Simon, Enzo et Gabriel avait révélé s’être rendu compte de son incroyable popularité le jour de sa mort. « J’ai pris conscience de son immense carrière quand elle est morte. Cela a été mon drame à moi. Quand vous êtes dans la voiture pour vous rendre dans la maison de famille où elle est morte, que vous découvrez le palmarès, les BAFTAS, les prix d’interprétation, l’Ours d’or, les Oscars…« , avait-il confié à Cyril Hanouna.
Benjamin Castaldi, qui n’était âgé que de quinze ans au moment de sa disparition, s’était aussi étonné de la foule le jour de ses obsèques : « Un enterrement en théorie c’est triste, mais quand vous avez des dizaines de milliers de personnes tout le long de cortège avec des pancartes Simone… Vous pleurez moins. J’étais très fier. Mémé c’est quelqu’un. » Mais pour lui, elle restera surtout l’épaule réconfortante sur laquelle il avait l’habitude de se reposer.
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