Nouveau numéro inédit de la saison 2 d’Extravagantes, cette croisière complètement folle, à voir vendredi 22 juillet sur Paris Première à 22 h 45. Avec Julie Pietri et Florent Peyre, Stone chante et se livre à quelques confidences qu’elle a complétées pour Télé Star.
Dans ce programme, les invités sont au milieu de transformistes… Avez-vous apprécié ce moment ?
STONE : C’était vraiment sympa. J’aime ce genre d’émissions un peu farfelues, mais très professionnelles. Il y a du boulot derrière !
Vous y chantez L’Avventura, le premier tube du duo que vous formiez avec Éric Charden. Personne n’en voulait vraiment de cette chanson à l’époque ?
Aucune radio ne voulait la diffuser. On trouvait ça ringard. En plus c’était une valse alors que la pop dominait tout… Mais c’est le public qui a réclamé la chanson à la maison de disques après un passage à la télévision. C’est toujours lui qui décide.
N’avez-vous pas été précurseurs dans la mode des duos ?
Totalement ! En France, on a souvent dit que le public n’aime pas les duos, que c’était très anglo-saxon, au regard du succès de Sonny & Cher et d’Ike & Tina Turner. Mais après nous, il y en a eu plein : Johnny et Sylvie, Ringo et Sheila…
Comment a été conçue la compilation Stone et Charden qui vient de sortir ?
Il y a nos grands succès : Made in Normandie, Il y a du soleil sur la France… Des succès d’Éric comme Pense à moi et L’été sera chaud. Il était content d’exister seul quand nous avons suivi des voies différentes. Il y a aussi des chansons que j’ai interprétées en solo…
Dès les années 1980, vous avez entamé une carrière de comédienne. Est-ce pour le Festival que vous êtes actuellement à Avignon ?
J’y ai déjà joué plusieurs fois, notamment Les Monologues du vagin.Mais là, non, c’est pour garder les petits-enfants pendant que nos deux enfants se produisent sur scène. Daisy d’Alba dans Tu voulais un coup de foudre et Martin Magli dans la reprise de Ils s’aiment de Palmade-Laroque !
Partagez-vous toujours votre temps entre Paris et l’Auvergne ?
On est de moins en moins souvent à Paris. On a une maison de famille en Auvergne. On s’y était retrouvé au moment du premier confinement.
Pourquoi êtes-vous engagée auprès de l’ADMD (Association pour le droit de mourir dans la dignité) ?
Parce que la loi autorisant l’euthanasie n’a toujours pas été votée en France. Les personnes qui souffrent trop et qui désirent partir sont obligées d’aller en Suisse par exemple. J’admire Jean-Luc Romero, le fondateur de l’association, qui ne lâche pas.
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