Adriana Karembeu est l’une des personnalités préférées des Français. Au fil des années, la star s’est illustrée dans de nombreux domaines. En 2021, la principale intéressée a fait quelques confidences sur sa brillante carrière et son rapport à l’âge dans les colonnes de « Nous Deux ».

Adriana Karembeu a des choses à dire ! À 50 ans, le mannequin continue d’inspirer ses innombrables admirateurs. Si la maman de Nina peut se vanter d’avoir une plastique de rêve, elle avoue avoir quelques complexes. La principale intéressée a d’ailleurs fait quelques révélations à ce sujet dans les colonnes de Nous Deux en 2021.

« À force d’être habillée, coiffée, maquillée, on pointe nos défauts pour les corriger, et ça finit par faire naître des complexes. Pour ma part, je me suis toujours dit que mon physique était un cadeau, un bonus », a-t-elle analysé à nos confrères. « Le mannequinat vous oblige à vous regarder, à prendre soin de vous. À la moindre prise de poids, on ne vous appelle plus. À 30 ans, j’aurais éventuellement pu m’occuper de mes premières rides mais, comme je continuais à travailler, l’idée est passée. »

« Je me regarde à peine… »

Si de nombreuses stars n’assument pas avoir succombé à la chirurgie esthétique, Adriana Karembeu en parle sans tabou. « Je ferai peut-être un lifting plus tard et encore, je m’en fiche… », a avoué la comédienne et de renchérir : « Pour être tout à fait honnête, je me regarde à peine. Quand je constate les ravages de la chirurgie esthétique, ça ne me donne pas envie. Les filles qui commencent très jeunes se retrouvent prises dans un engrenage infernal. Je n’aime pas la ‘culture Botox’. »

Pour Orange Tendances, l’épouse d’Aram Ohanian s’est livrée davantage sur certaines opérations. « La chirurgie esthétique extrême, c’est malheureux. C’est un signe de manque de confiance en soi. Après, une femme qui a 50 ou 60 ans, qui fait un petit lifting pour se donner un petit coup de jeune, ce n’est pas horrible ! Aujourd’hui, les choses sont bien faites. Les injections de Botox, où les opérations pour venir à bout des rides, je peux les comprendre, mais les extrêmes, beaucoup moins », a-t-elle confié et de conclure avec philosophie : « Je n’ai pas peur de vieillir, mais je trouve ça dommage. On n’a pas le choix de vieillir. Mieux vaut bien le vivre et le prendre avec humour. »

N.B

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