Selon nos informations exclusives, malgré l’accusation d’agression sexuelle qui pèse sur lui, le réalisateur peut compter sur le soutien sans faille de sa chérie.

Nicolas peut compter sur Pauline pour traverser Amour et Turbulences !

Certaines auraient pu prendre la poudre d’escampette, se révolter, décider de tout plaquer… Mais, en ce début juillet, Pauline semble là, toujours présente, aux côtés de Nicolas Bedos. L’accusation d’“agression sexuelle en état d’ivresse manifeste” que le réalisateur affronte depuis sa garde à vue, le 21 juin dernier ? “Certes, on ne peut pas dire que ça lui a fait plaisir, nous confie un proche en exclusivité, mais elle est très amoureuse de Nicolas et elle le connaît très bien. Pauline le prend comme il est, avec ses qualités et ses défauts.”

De futurs parents très soudés !

Alors oui, elle le sait, début 2024, si l’on en croit les informations annoncées au Monde par le parquet, son homme passera devant un tribunal. Mais, même s’il risque gros – cinq ans d’emprisonnement et 75 000 euros d’amende, très exactement –, la jolie Pauline devrait se tenir droite et forte auprès de lui. Et elle ne sera peut-être pas toute seule à ce moment-là… Car comme vous l’annonçait Public fin juin, nous avons eu plus que jamais la confirmation que la belle trentenaire au sourire solaire et aux charmants yeux clairs, qui a conquis le fils de Guy Bedos il y a trois ans, attendait un heureux événement. “La grossesse se passe bien et ils sont plus soudés que jamais”, nous confirme d’ailleurs un membre de leur entourage. Grand angoissé, le réalisateur de 44 ans en est conscient : ce nouveau rôle est plein de responsabilités. Se sera-t-il débarrassé de ses vieux démons ? Lucide sur lui-même, Nicolas ne nie pas le fait que la conduite déplacée dont il est accusé depuis le mois dernier ait pu exister. Son avocate explique néanmoins : “Un tel geste, dont il n’a pas le souvenir, qui se serait produit sur la piste de danse d’une boîte de nuit, n’a pu être qu’accidentel sous l’effet de l’ébriété.” Accident ou pas, la justice devra trancher afin de décider du sort du futur papa.

Louise Monteil

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