Presque 5 ans après son renvoi de l’équipe de France, Arnaud Clément se lance dans un nouveau bras de fer ! Depuis le 17 janvier dernier, le chéri de Nolwenn est activement en campagne et lorgne sur la présidence de la FFT !

« La bigorexie, parce que ce n’est pas n’importe quel sportif. C’est un sportif qui n’a jamais fait autant de sport que depuis qu’il a arrêté le tennis. C’est une forme d’addiction, oui ». C’est ce qu’avait confié Nolwenn Leroy à Michel Cymes à propos d’Arnaud Clément, en avril 2019. Et ces derniers mois, elle l’épaule un peu plus encore, alors qu’il s’engage dans un très gros projet.

Arnaud Clément est en campagne

L’ancien capitaine de l’équipe de France de Coupe Davis est maintenant en route vers la présidence de la Fédération Française de Tennis (FFT). Il soutient le candidat Gilles Moretton pour les élections du 12 décembre prochain, qui a déclaré sa candidature le 17 janvier dernier.

Dans une interview accordée au Parisien, Arnaud Clément a dévoilé ses intentions. « Je suis délégué des clubs de ma ligue à l’Assemblée générale de la FFT. Pour voter à l’élection présidentielle de la fin d’année, il faudrait que je sois préalablement réélu ».

Et c’est une riposte murement réfléchie qu’il prépare contre la FFT, qui l’avait évincé de son poste, en septembre 2015 avant la fin de son contrat. Le coach des Bleus aujourd’hui âgé de 42 ans, n’aurait pas eu des résultats satisfaisants avec son équipe, comme le disent les dirigeants de la FFT. Pourtant, comme le remarque le JDD, « en trois ans, Clément avait hissé l’équipe de France une fois en finale (2014, perdue contre la Suisse à Villeneuve-d’Ascq) et à deux reprises en quarts de finale (2013, 2015) ».

Papa de son petit garçon prénommé Marin, né le 12 juillet 2017, avec celle dont il partage la vie depuis janvier 2008, le sportif avait décidé de ne pas en rester là. De peur de ne pas pouvoir rebondir professionnellement après avoir été évincé, il avait donc attaqué la FFT. Le motif : « préjudice à son image ». Une bataille qui avait finalement abouti, huit mois plus tard, à un accord. 

Un « petit » chèque de 500 000 euros en 2016

Malheureusement, au lieu des 1,5 millions d’euros que l’ex tennisman demandait, il n’avait obtenu que 500 000 euros de dédommagement, soit un tiers.

Source: Lire L’Article Complet