Ce jeudi 21 novembre 2019, Jean-Marc Morandini a reçu Sophie Darel sur le plateau de son émission « Morandini Live » diffusée sur CNews et Non Stop People. En pleine promotion de son livre « Objectif 100 ans et en forme », la présentatrice a évoqué différents sujets, notamment son combat contre le cancer, maladie qui l’a touchée à trois reprises.

Le 14 novembre dernier, Sophie Darel a été l’invitée de Jordan de Luxe dans « L’instant de luxe », émission diffusée sur Non Stop People. Celle qui a eu une aventure avec Mike Brant en a profité pour évoquer son rapport à la chirurgie esthétique. « J’ai fait des petits trucs », confiait-elle. Elle révélait ensuite les raisons qui l’ont poussée à faire de la chirurgie. « Ce n’est pas le fait de vouloir rester jeune, c’est plus pour ne pas avoir mauvaise mine (…) Il ne faut pas tomber dans l’excès, se faire tirer la peau dans tous les sens. Il faut faire des petites choses ».

En octobre dernier, Sophie Darel a sorti un nouveau livre baptisé « Objectif 100 ans et en forme » aux éditions Ramsay. Un ouvrage dans lequel elle confie avoir été violée dans sa jeunesse par un célèbre animateur radio, sans pour autant dévoiler son identité. Elle tacle aussi sévèrement le mouvement #MeToo.

« Ça fait trois tremblements de terre »

Invitée ce jeudi 21 novembre 2019 dans « Morandini Live », Sophie Darel a une nouvelle fois évoqué ces sujets abordés dans son ouvrage. Ainsi, elle a parlé de sa santé, elle qui a été touchée par trois cancers. Comment a-t-elle réagi à ce diagnostic ? « J’étais catastrophée, même si je suis toujours joyeuse. Il faut digérer ça. Quand on apprend la nouvelle, on a envie de baisser les bras. J’ai toujours eu la chance d’être bien entourée avec mon homme, Jacques et ça c’est hyper important. J’ai reçu beaucoup de courriers de gens touchés par la maladie qui me disaient que le mari s’était barré parce qu’il n’avait pas envie de les voir sans cheveux (…) Ça, c’est plus terrible, si l’entourage n’est pas là pour aider. C’est déjà un drame », a-t-elle répondu. Et de poursuivre : « C’est un tremblement de terre quand on apprend qu’on a un cancer… Alors trois, ça fait trois tremblements de terre. Ça fait beaucoup, c’est vrai ».

Elle s’est ensuite confiée sur son rapport à la maladie. « J’ai la chance d’être une battante et c’est vrai que j’en ai parlé avec de nombreux médecins, même des cardiologues : les gens qui sont battants, en général, s’en sortent mieux. En revanche, quand il s’agit d’une maladie trop avancée, il n’y a pas de miracle non plus. Mais c’est vrai (…) que quelqu’un qui est battant, qui a le moral, s’en sortira plutôt mieux que quelqu’un de dépressif », a-t-elle expliqué.

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