Après le Canada, les États-Unis pour Meghan Markle et le prince Harry. Quel que soit le pays où ils vivent, ils ont le même problème : le financement de leur sécurité. Selon le spécialiste royal du Sun, Charles Rae, le prince Charles leur verserait 2 millions de livres par an.

Mais qui paiera pour leur sécurité ? Depuis qu’ils ont décidé de quitter leurs fonctions royales, c’est la question qui revient sans cesse autour de Meghan Markle, du prince Harry et de leur fils Archie. Dès leur arrivée au Canada, la problématique s’est posée, à tel point que des pétitions ont circulé afin que les Canadiens n’aient pas à payer pour les Sussex. Des personnalités politiques s’étaient même emparées de la question. Vivant désormais à Los Angeles, ce ne sont pas les Américains qui mettent la main au porte-monnaie, mais le prince Charles, dans une certaine mesure. Selon le spécialiste royal du Sun, Charles Rae, le père du prince Harry verserait chaque année deux millions de livres sterling (soit 2,2 millions d’euros) à son fils et son épouse.

Est-ce que les Britanniques paient encore pour Meghan et Harry ? C’était la question posée par Mike Graham dans son émission de radio. Et d’une certaine façon la réponse est « oui ». « Nous sommes toujours en train de payer parce qu’en ce moment, le prince Charles donne deux millions de livres par an. (…) C’est pour aider à payer une partie de la sécurité », explique le spécialiste royal.

Douze mois

L’argent donné par le prince Charles leur permet de se sortir d’une situation plus compliquée que prévu. Le spécialiste rappelle qu’ils sont arrivés aux États-Unis pour leurs nouvelles carrières, et principalement pour que l’ancienne actrice de la série Suits puisse se relancer dans le show-business. Mais il y a un invité qui n’était pas prévu : le coronavirus qui « écrase tous leurs plans », selon Charles Rae, dont les propos sont rapportés par Express.co.uk. Selon lui, c’est pendant douze mois que le prince Charles aurait prévu de leur verser de l’argent. L’avenir est donc très incertain. « Je ne sais pas comment ils vont obtenir cet argent dans le futur », a-t-il précisé. Des préoccupations financières qui ne les empêchent pas de faire preuve de solidarité et de multiplier les actions de charité pendant l’épidémie.

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