Elle avait été embauchée pour seconder les Sussex dans la gestion de leur fondation Archewell, le 2 avril 2020. Moins d’un an plus tard, Catherine Saint-Laurent quitte sa fonction au plus près de Meghan Markle et du prince Harry.

Un an, à peine : c’est le temps qu’aura passé Catherine Saint-Laurent au poste de chef de cabinet de Meghan Markle et du prince Harry. Selon le site américain PageSix, la Canadienne, connue auparavant pour ses activités de premier plan au sein de la fondation Bill et Melinda Gates, conservera un poste de «conseillère senior» auprès de celle des Sussex, Archewell, dont elle était jusqu’ici directrice exécutive. Elle se tiendra désormais plus en retrait. «Elle continuera à apporter des conseils de stratégie de haut-niveau à Archewell, qu’elle a aidé à lancer et construire, durant l’année écoulée», a déclaré un porte-parole de la fondation au site.

Si l’on ne sait encore qui épaulera les Sussex aux États-Unis, c’est James Holt, responsable des relations publiques du couple en Angleterre, qui prend sa place à la direction exécutive d’Archewell. Décrit par un article du Evening Standard comme un «gourou de la communication politique», celui-ci a commencé à travailler pour les Sussex en septembre 2020, après être passé par le Bureau du Cabinet, département exécutif du gouvernement britannique, le parti Libéral Démocrate et le 10, Downing Street. Basé à Londres, il serait particulièrement au fait des questions de diversité et de philantropie, deux axes majeurs de la fondation Archewell telle que l’ont pour l’instant décrite les Sussex.

Une nouvelle stratégie?

C’est le 2 avril, dans la foulée immédiate du Megxit, que Meghan Markle et le prince Harry avaient embauché Catherine Saint-Laurent. Outre ses activités de premier plan pour la fondation Bill et Melinda Gates, la Canadienne, mère de deux enfants, avait dirigé Pivotal Ventures, un fonds d’investissement créé par l’épouse du milliardaire. Elle avait également contribué au lancement de Family Planning 20-20, un programme destiné à faciliter la contraception auprès des jeunes femmes de pays défavorisés.

En vidéo, le prince Harry et Meghan Markle, chronique d’une disgrâce annoncée

Sous les feux des médias suite à leur interview accordée à Oprah Winfrey, le 7 mars, les Sussex entendent peut-être revoir leur positionnement, et leurs stratégies de communication. Outre les tensions que l’entretien a créées auprès de la famille royale, une enquête a également été ouverte par Buckingham Palace quant aux accusations de harcèlement dont Meghan Markle fait l’objet, relatives à l’époque où elle vivait au palais de Kensington. Une affaire que James Holt, basé à Londres, pourrait suivre de près.

Source: Lire L’Article Complet