Tout semble aller pour le mieux en ce qui concerne le couple formé par Maxime Chattam et Faustine Bollaert. L’écrivain a témoigné de son amour envers son épouse à la radio.
Après sept ans de mariage et deux enfants, Abbie (6 ans) et Peter (4 ans), Maxime Chattam semble toujours aussi heureux avec son épouse Faustine Bollaert. Le romancier de 44 ans s’est confié ce mardi 26 mai 2020 sur Europe 1 à propos de son confinement avec l’animatrice de 41 ans.
«J’ai trouvé ce confinement formidable, puisque c’est le meilleur moyen de vous prouver que vous avez trouvé la personne parfaite. Quand vous sortez de ce confinement en ayant le sentiment qu’il n’y a jamais eu un jour de trop et qu’au contraire c’était un confinement formidable…», a déclaré l’écrivain dont on devinait le sourire à l’antenne.
Évidemment, il n’a pas utilisé le terme «parfait » pour décrire son confinement mais s’est voulu particulièrement reconnaissant. «Enfin formidable, attention, toutes proportions gardées. Je vous parle juste du côté de se retrouver en tête à tête avec celui ou celle qu’on aime et de se rendre compte qu’au bout de ces presque deux mois, tout s’est bien passé et qu’on est toujours aussi heureux l’un que l’autre. Voilà, il y a au moins parfois du bon à tirer de ce moment un peu difficile», a-t-il poursuivi.
.@ChattamMaxime : « Le confinement a été le meilleur moyen de vous prouver que vous avez trouvé la personne parfaite » (coucou @FaustineFB ) pic.twitter.com/5udIRmobHJ
« Tu dois penser à vivre »
Le 11 mai 2020, celle qui est à la tête du talk-show «Ça commence aujourd’hui» s’était confiée à «Télé Star» à propos de son couple. «Le confinement n’a pas vraiment changé son rythme de travail, notre couple s’est bien adapté avec humour au confinement. Quand je lui parle un peu trop de fringues, il me dit qu’il est vraiment temps que je retrouve mes copines», avait plaisanté Faustine Bollaert. Une déclaration à laquelle l’auteur n’a pas manqué de répondre avec humour au micro d’Europe 1. «Je ne vous cache pas qu’à la cent cinquantième nuance de gris pour repeindre la salle de bain, j’ai commencé à dresser le pavillon blanc», s’est-il amusé.
Dans un autre entretien accordé au «Figaro» cette fois, l’expert en criminologie a expliqué ce qui l’a aidé et changé dans sa relation avec la journaliste. Obnubilé par ses écrits et se sentant coupable de son succès, la présentatrice l’a légèrement bousculé dans sa manière de créer ses histoires. «Ma femme m’a dit : « Je ne veux pas être celle qui a tué le romancier mais tu dois penser à vivre aussi. » Et elle m’a reconnecté avec mes émotions. Mes personnages étaient humains mais moi j’étais coincé», a-t-il dit.
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