Parents d’un petit garçon né le 14 juin dernier, Julian Alaphilippe et Marion Rousse lui ont donné le joli prénom de Nino. Un choix que la consultante de France Télévisions a expliqué au Parisien ce vendredi 9 juillet.
Marion Rousse
Julian Alaphilippe
La vie de Marion Rousse et Julian Alaphilippe a été bousculée, dans le bon sens du terme, par la venue au monde de leur premier enfant. Pour lui, la consultante et le champion de cyclisme ont fait des concessions dans leurs carrières bien remplies. Marion Rousse a renoncé à commenter le Tour de France, tandis que Julian Alaphilippe s’est retiré de deux compétitions. Dès le 14 mai dernier, le coureur avait fait savoir qu’il ne représenterait pas la France lors des Jeux olympiques prévus du 23 juillet au 8 août. Et le 12 juin dernier, alors qu’il était en plein Tour de Suisse, le champion avait abandonné la course pour se rendre auprès de sa compagne. Celle-ci a donné naissance, le 14 juin dernier, à un petit Nino qui illumine leur quotidien. Et le bébé vit depuis peu son tout premier Tour de France : pendant que son père pédale sur les routes, le nourrisson le suit avec sa mère et son grand-père dans un camping-car. Une aventure que Marion Rousse évoque dans Le Parisien ce 9 juillet, glissant au passages quelques confidences sur son compagnon et leur fils.
Il n’y a pas qu’un seul Nino dans la famille
Partir en camping-car pour suivre le Tour de France était un projet auquel la consultante avait réfléchi pendant sa grossesse : « On y avait pensé à l’avance, sans être surs de le faire. Mais quand Julian a pris Nino dans les bras pour la première fois, il m’a dit : “C’est impossible pour moi de ne pas le voir pendant un mois. Je me connais, si j’ai des jambes moyennes, je suis capable de bâcher [abandonner, ndlr] pour voir le petit.” Donc on a pris le volant et, ainsi, je vis le Tour différemment. » Pour le plus grand bonheur du coureur, qui peut prendre dans ses bras son bébé entre deux étapes.
Dans Le Parisien, Marion Rousse s’est confiée sur un autre choix qu’elle a fait avec son compagnon : le prénom de leur fils. « Se mettre d’accord sur un prénom, ce n’est jamais évident, a-t-elle rappelé au quotidien. Et celui-là, on l’aimait bien tous les deux. C’était le prénom de mon grand-père maternel, qui venait d’une famille italienne. C’était le clin d’œil. Et sans même connaître le petit, on avait l’impression que ça lui allait bien. » Comme une évidence.
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