Depuis janvier 2021, Marie-Sophie Lacarrau est à la tête des 13h de TF1, et est titulaire aux côtés de Gilles Bouleau et Anne-Claire Coudray. Un trio de choc qui toutefois ne se croise que très rarement dans les locaux de TF1, du fait de travailler à des horaires différents. Dans une interview accordée à TVMAG ce mardi 3 octobre 2023, la journaliste révèle les liens qu’elle a tissés avec sa consœur du weekend.

Voilà maintenant deux ans et demi que Marie-Sophie Lacarrau a remplacé le regretté Jean-Pierre Pernaut aux 13h de TF1. Démissionnaire des 13h de France 2 qu’elle chapeautait depuis plusieurs années, la journaliste a décidé de partir sur la chaîne privée faire équipe avec Gilles Bouleau et Anne-Claire Coudray, avec lesquels elle forme le nouveau trio de choc de TF1, succédant ainsi à des trios emblématiques qu’ont notamment formé Jean-Pierre Pernaut, Laurence Ferrari, PPDA ou encore Claire Chazal. Mais quelles sont les relations qu’ont tissées Marie-Sophie Lacarrau et Anne-Claire Coudray ?

Si les deux femmes n’ont pas vraiment l’occasion de se rencontrer dans les locaux de TF1, l’une travaillant en semaine et l’autre le weekend, il n’en reste pas moins qu’elles réussissent à s’octroyer quelques moments de complicité loin des bureaux ! En effet, comme l’a révélé Marie-Sophie Lacarrau à TVMAG ce mardi 3 octobre 2023, les deux journalistes ne sont aucunement rivales, et sont même devenues amies à la ville, au point de régulièrement déjeuner ensemble : « On échange beaucoup et on déjeune régulièrement ensemble. Je suis ravie quand je suis avec elle« .

Les femmes prennent le pouvoir !

Récemment, les deux amies ont eu le plaisir de partager ensemble la présentation de la cérémonie d’ouverture de la Coupe du monde de rugby, qu’elles ont réalisée avec la nouvelle venue de TF1 Isabelle Ithurburu. Un trio 100% féminin qui a enthousiasmé les trois femmes : « Pour la cérémonie d’ouverture, nous étions trois femmes, avec Isabelle Ithurburu, à piloter cette édition spéciale, et c’était très agréable ». Interrogée par la suite sur les audiences son JT et sur le ton qu’elle a donné à ce journal marqué à tout jamais par la patte et par l’identité de Jean-Pierre Pernaut, la journaliste, qui a dû s’absenter plusieurs mois l’an dernier à cause d’une kératite amibienne, une infection bactérienne oculaire particulièrement grave qui peut mener à la cécité, s’est dit satisfaite : « Je me régale à penser ce journal, à l’écrire et à le porter à l’antenne ». Pourvu que ça dure !

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