Au lendemain d’une garde à vue, la réalisatrice Anissa Bonnefont a commenté l’affaire en cours pour violences conjugales, avec celui qui est désormais son ex, Mathias Vicherat.

Anissa Bonnefont et Mathias Vicherat font les gros titres. Ils ont été placés en garde à vue dimanche soir 3 décembre 2023, s’accusant mutuellement de violences conjugales, avant d’être remis en liberté le jour suivant. Et tandis qu’une enquête se poursuit devant le parquet de Paris lundi, sur Instagram, la première s’est dite « désespérée et sous le choc… »

« Ça n’est jamais tout blanc d’un côté et tout noir de l’autre« 

« … de voir cet acharnement médiatique autour de ma vie privée et celle de mon ex-conjoint » a-t-elle écrit. À propos de la dispute qu’elle a eue avec celui qui ne partage donc plus sa vie, la réalisatrice a expliqué : « Les médias s’emparent de la vie des gens sans vérifier tout ce qu’ils assènent. Ça nous détruit de nous jeter en pâture. Ça abîme aussi beaucoup nos enfants ». De son côté, Anissa Bonnefont est maman de deux enfants, Alma et Vittorio, tandis que Mathias Vicherat, lui, a eu un petit garçon, Jean, avec Marie Drucker, il y a 8 ans.

Les premiers détails de leur dispute ont déjà fuité dans la presse. Libération rapporte en effet : « Dimanche dans la soirée, elle franchit la porte du commissariat du VIIe arrondissement de la capitale pour déposer une main courante contre Mathias Vicherat. Selon Le Parisien, elle raconte qu’il l’a poussée par terre. Une source policière citée par le quotidien parle même d’un poignet cassé il y a six semaines« .

Un récit qui horripile la principale intéressée qui se demande : « Il n’y a pas des choses bien plus importantes à relater en ce moment, honnêtement ??! » Et de conclure, émue : « Les tristesses de couples appartiennent aux couples et ça n’est jamais tout blanc d’un côté et tout noir de l’autre. Il faut que ça cesse ».

Mathias Vicherat sous pression à Science Po

Un message qui pourrait calmer le jeu pour Mathias Vicherat, à Science Po. Arrivé en novembre 2021, à la rue Saint Guillaume, après la démission de Frédéric Mion (sur fond de scandale Olivier Duhamel), il avait une feuille de route très stricte pour défendre les violences faites aux femmes. Depuis cette affaire privée, de nombreux élèves demandent sa tête, estimant que le contrat de confiance est aujourd’hui rompu.

F.A

Source: Lire L’Article Complet