Ce lundi 2 octobre 2023, Marianne James a pris ses réseaux sociaux afin de raconter un épisode bouleversant auquel elle a été confrontée courant juillet. L’ancienne membre du jury de la "Nouvelle Star" a vu sa vie défiler devant ses yeux.

Marianne James a vécu un épisode traumatisant. Ce lundi 2 octobre 2023, l’ancienne membre du jury de la Nouvelle Star s’est emparée de ses réseaux sociaux afin de raconter une scène particulièrement bouleversante qu’elle a vécue au cours de l’été. « Je suis obligée de le raconter », a-t-elle débuté dans une vidéo mise en ligne sur son compte Instagram avant de poursuivre son récit.

Une publication partagée par Marianne James Officiel (@mariannejamesofficiel)

« C’était courant juillet, je prends la déviation poids lourds à Montélimar vers 14h30 avec ma petite voiture, je roule à 70 km/h, c’est la vitesse autorisée et il y a une grande ligne droite de plus d’un kilomètre. Il n’y a personne derrière moi, personne devant moi et personne sur l’autre voie. Tranquille ! » Si Marianne James pensait être seule, un autre véhicule est finalement apparu au loin. « Au lointain, je vois arriver une voiture blanche, une voiture allemande, puissante, tuné. Des mecs qui arrivent à 150 à l’heure et pour s’amuser, dans les 50 derniers mètres […] ils changent de voie d’un coup, ils se mettent face à moi comme dans Fast & Furious. »

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« J’avais la chair de poule »

Persuadée que le pire allait se produire, celle qui s’est longtemps tenue aux côtés d’Eric Antoine dans La France à un incroyable talent a vu sa vie défiler devant ses yeux. « J’ai vu ma gueule et la gueule de tous les gens que j’ai rencontrée, une sorte de trombinoscope d’une violence… J’avais la chair de poule, je ne me sentais pas bien. »

« Au dernier centimètre, il a rectifié le tir et est retourné sur sa voie », a-t-elle ajouté. « Ça a duré deux secondes et demie. Je n’appellerai pas ça car-jackings, ceux qui vol des bagnoles, j’appellerai plutôt car-frightening, faire peur avec sa bagnole. Moi j’ai eu peur, je me suis arrêté sur le bas-côté, j’ai pleuré, parce que j’ai eu vraiment très peur. Dans ces deux secondes et demie je savais que moi je ne m’en sortirai pas si on se rentrait frontalement. » Le lendemain, une crise d’« urticaire géante » s’est déclenchée sur la moitié du corps de Marianne James, toujours sous le choc…

V.B

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