Interrogé par Nikos Aliagas pour l’émission 50’ Inside sur TF1, Marc Lavoine s’est livré sans fard sur son expérience en tant que coach de The Voice et ce que celle-ci avait changé dans sa vie.
Il n’y a que les c*ns qui ne changent pas d’avis. Un dicton qui existe depuis la nuit des temps mais qui prend tout son sens lorsque Marc Lavoine prend la parole. Non pas que le coach de The Voice fasse partie de cette catégorie de personnes, toutefois, l’artiste a reconnu qu’il avait « eu tort » sur certains points, et sur les préjugés qu’il avait sur le télé-crochet de TF1. Un programme dans lequel il officie depuis de nombreuses années à présent. Pourtant, les fans auraient bien failli ne jamais le voir s’il ne s’était pas fait force et s’il était resté campé sur ses positions.
En effet, celui qui vient de sortir son nouvel album Adulte Jamais, et qui a d’ailleurs eu droit à une vague de critiques en interprétant l’un de ses singles, Le Train, sur le plateau de Quotidien le 14 janvier dernier, accordait une interview à Nikos Aliagas pour son émission 50’Inside. L’occasion pour celui qui va bientôt affronter Florent Pagny, Nolwenn Leroy, Amel Bent, ou encore Vianney pour dénicher la plus belle voix de France, d’évoquer son expérience dans The Voice. « L’autre jour, on m’a demandé : « Qu’est-ce que ça a changé pour vous ? » », se rappelait-il en assurant que depuis qu’il était devenu coach, sa vision des choses avait changé car celui lui a permis d’être « moins con qu’avant ». Avant de revenir sur les fameux préjugés qu’il avait avant de s’asseoir sur l’un des célèbres fauteuils rouge :« J’ai longtemps refusé de faire ‘The Voice’ pour l’idée que je m’en faisais. De moi, mon image, des conneries… »
« Là, je me suis dit : « Je me sens, quand même, un peu plus proche, dans le cœur des gens, je les écoute »… » ajoutait-il en reconnaissant qu’il se sentait légèrement honteux de ne pas avoir accepté la proposition bien avant : « je me suis rendu compte que j’avais tort de ne pas avoir accepté plus tôt ». Marc Lavoine qui, pour sa défense, indiquait qu’il ne s’agissait, « peut-être pas du bon moment », lorsque l’offre se présentait à lui. Aujourd’hui, il se dit heureux et comblé de faire partie d’une telle aventure. Et nul doute qu’il devrait y rester encore longtemps.
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R.F
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