Invitée de Sud Radio ce lundi 19 juin, Béatrice Rosen, chroniqueuse de "TPMP", a poussé un énorme coup de gueule en pleine interview, après avoir été invitée à donner son avis sur l’idéologie woke.

Depuis qu’elle siège autour de la table de « TPMP », Béatrice Rosen l’a toujours prouvé. Elle n’hésite jamais à dire ce qu’elle pense, quitte à se prendre la tête et défier ses collègues de la quotidienne de C8. Mais l’actrice et chroniqueuse de 39 ans prouve qu’elle ne fait pas dans la langue de bois, même lorsqu’elle n’officie pas pour Cyril Hanouna. La preuve, avec son passage sur Sud Radio ce lundi 19 juin.

Invitée d’André Bercoff, elle a débattu avec lui sur l’idéologie woke et notamment l’éducation de la sexualité chez les jeunes. « Qu’est-ce que vous pensez de cet effet, de cette espèce d’effet « différent ». Dans les écoles, alors moi je veux bien, vive la sexualité mais à huit ans, dix ans, six ans… c’est quoi ? », a-t-il demandé à son invitée qui lui a répondu d’emblée : « Pour moi, on atteint un « trop plein ».

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Béatrice Rosen hors d’elle, elle prend l’exemple de sa fille

En effet, pour Béatrice Rosen, aujourd’hui, on « confond l’apprentissage de la tolérance et de la bienveillance », dont elle est « absolument pour », avec « le prosélytisme et une espèce de propagande d’une idéologie ». « Les enfants ne peuvent pas se construire… on se construit tous sur des repères fermes. Pas dans le fluide ! Et c’est même contradictoire je vais vous dire. Parce que la notion de consentement elle est binaire, elle n’est pas fluide. C’est oui, ou c’est non ! », poursuit celle qui a apporté son soutien à Novak Djokovic.

Elle juge cette situation « dangereuse » parce que « les prédateurs s’engouffrent dans ce flou dans cette fluidité entre le « oui », « oui peut-être », « non mais pourquoi pas »… non ! C’est oui ou non le consentement, je suis désolé », martèle-t-elle toujours remontée.

Pour appuyer ses propos, la chroniqueuse de Cyril Hanouna a pris l’exemple de ses enfants : « j’ai une petite fille de cinq ans et je n’ai pas envie qu’on apprenne la masturbation à ma petite fille de cinq ans ou mon enfant de huit ans ». Il y a un âge pour tout dans la vie, tente-t-elle de prouver : « À six, sept, huit ans, il y a un âge pour la petite souris et le Père Noël, pour l’innocence, pour la pureté de ces moments magiques. Et puis il y a un temps pour l’éducation sexuelle, la puberté, la majorité sexuelle. Il y a un temps pour tout ».

R.F

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