Samedi 30 avril 2022, le chanteur Louis Bertignac était l’invité du JT de 13h de France 2. L’occasion pour lui de revenir sur sa carrière mais aussi de faire une confidence étonnante sur un objet porte-bonheur, que lui a offert sa fille Lili.
- Louis Bertignac
- Jean-Louis Aubert
C’est face au journaliste de France 2 Youssef Bouchikhi que le rockeur Louis Bertignac s’est livré samedi 30 avril 2022 dans la dernière partie du JT de 13h de France 2. Il était invité en plateau pour faire la promotion de son livre : une autobiographie intitulée Jolie petite histoire (Éd. Le Cherche Midi), comme le célèbre refrain de la chanson du groupe emblématique Téléphone, dont il a été le guitariste au côté du chanteur Jean-Louis Aubert. Louis Bertignac a joué quelques notes de guitare avant de revenir sur sa carrière et sur son amour pour le rock and roll. Il a aussi fait découvrir aux téléspectateurs un curieux grigri qu’il a toujours dans sa poche.
Interrogé par le journaliste sur son objet fétiche, le chanteur a dégainé son porte-clé. En plus de ses clés de voiture et de maison, on y trouve une sorte de mini disque vinyle noir avec un peu de peinture rouge, offert par sa fille Lili il y a plusieurs années. « J’ai toujours ce petit truc, un truc que ma Lili, qui avait 6 ou 7 ans, m’avait préparé pour la fête des pères. À chaque fois que je le vois, ça me fait penser à elle et comme je l’aime, ça me fait du bien », explique le musicien, véritable papa poule.
» Love, drug and rock and roll «
Interrogé par le journaliste de France 2, Louis Bertignac revient sur ses années passées au sein du groupe Téléphone. Amusé, il explique avoir été plus « love, drug and rock and roll que sex, drug and rock and roll ». L’occasion pour lui de parler avec tendresse de son rapport avec les femmes : « Chaque fille avec qui j’ai fait l’amour, c’était un espoir de grand amour. »
Dans cet entretien, le rockeur sans filtre ni tabou aborde également son addiction à la drogue : « Je suis tombé dedans parce que ça gravitait autour de moi. » À la question de savoir s’il n’a pas peur de devenir démodé, il répond : « À mon avis, le meilleur moyen de pas paraître ringard c’est d’être nature, la plus grosse erreur à faire c’est de fabriquer un personnage […] Mick Jagger, il arrive à se façonner un personnage absolument génial pour aller sur scène […] lui ça lui réussit, moi j’aurais trop l’air d’un con », dit-il en riant. À 68 ans, le musicien ne semble rien avoir perdu de son naturel et de sa spontanéité.
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