Dans les colonnes de Gala, ce jeudi 18 mai, Léa Salamé s’est confié sur son couple avec Raphaël Glucksmann. Un couple qui dure et, ce, pour une bonne raison. La journaliste a donné sa recette de l’amour, qui semble plutôt bien fonctionner.

Huit ans qu’ils s’aiment éperdument. Mais comment entretenir une telle flamme après autant d’années ? Certains y parviennent aisément au bout de dix, vingt, ou encore trente ans de relation, si ce n’est plus. Mais d’autres se demandent encore comment nous pouvons garder l’être aimé auprès de soi, sans tomber dans la routine. Malgré un agenda chargé, entre les matinales de France Inter ou l’animation de « Quelle Époque! » chaque samedi sur France 2, Léa Salamé y parvient. Justement, nos confrères de Gala ont souhaité connaître la recette de son bonheur avec Raphaël Glucksmann ce jeudi 18 mai.

Dans un long entretien, celle qui a fait réagir lors de son arrivée au Festival de Cannes, a révélé ses petits secrets pour aimer, et être aimée, comme au premier jour par sa moitié. Elle a d’abord pris l’exemple d’un séjour en amoureux. Dans le cas où son agenda le lui permet, Léa Salamé a une idée bien arrêtée sur son « séjour idéal » avec l’homme de sa vie. Avec deux jours complets de liberté, l’ex-acolyte de Laurent Ruquier grimperait dans l’avion pour partir en direction de Rome. Une destination pas choisie au hasard. 

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Léa Salamé et son « premier week-end en amoureux » avec Raphaël Glucksmann

« C’est la ville de notre premier week-end en amoureux », confie-t-elle à nos confrères. Mais ce dont a besoin la journaliste de 43 ans, c’est d’être surprise. En effet, auprès de nos confrères de ELLE, en 2015, elle a reconnu avoir « peur de la médiocrité » et de « l’ennui ». « L’habitude et l’ennui sont les deux ennemis du couple non ? Faire durer son couple, ça se travaille. Il faut s’efforcer de le préserver malgré l’arrivée des enfants et les ambitions professionnelles », a de nouveau rappelé Léa Salamé à Gala. 

Maman d’un petit Gabriel âgé de six ans, fruit de son amour avec Raphaël Glucksmann, l’acolyte de Christophe Dechavanne se dit chanceuse que la vie lui ait permis de rencontrer l’homme de sa vie. D’autant plus qu’il ne cesse de la rendre heureuse. « Elisabeth Badinter m’avait dit un jour qu’être féministe, c’est se réjouir de la réussite de l’autre. Et c’est ma chance. J’ai un compagnon qui est plus féministe que moi et se réjouit de ma réussite, n’en prend pas ombrage, ne s’en trouve pas diminué. Il faut avoir les épaules pour ça », a-t-elle conclu auprès de Gala. Un couple qui dure, et qui a trouvé la recette pour. 

R.F

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