Le 13 septembre prochain, Léa Drucker sera à l’affiche de L’Été dernier, de Catherine Breillat. Dans L’Obs, ce jeudi 7 septembre, l’actrice a accepté de se confier sur les coulisses du tournage, mais aussi de revenir sur sa belle carrière, véritablement arrivée à son apogée il y a quelques années.

Drucker. Un nom connu, très connu en France, et qui peut s’avérer difficile à porter. Le 13 septembre prochain, la nièce du célèbre présentateur de Vivement dimanche, Léa, sera de retour au cinéma avec un thriller extrêmement attendu et présent au Festival de Cannes en mai dernier : L’Été dernier, de Catherine Breillat. Dans les colonnes de L’Obs, ce jeudi 7 septembre, l’actrice de 51 ans revient sur le tournage de ce film à la frontière entre le drame psychologique et érotique, et jette un coup d’œil dans le rétroviseur en livrant une sage analyse à propos de sa carrière. “Le succès a tardé, mais je n’ai ressenti aucune frustration”, confie-t-elle notamment, avant d’évoquer le long-métrage qui a changé la donne, en 2019.

Jusqu’à la garde, de Xavier Legrand a été un film important pour lequel j’ai reçu un César, que je peux brandir quand on m’embête à la maison –, mais les autres ne l’étaient pas moins. Tout ce qu’on fait a un sens”, explique la cousine de Marie Drucker. Depuis cette fiction, sacrée meilleur film aux César, la compagne de Julien Rambaldi a enchaîné les beaux projets (Deux, Le Monde d’hier, Incroyable mais vrai, Les Couleurs de l’incendie, Close…), l’imposant comme l’une des comédiennes les plus désirées sur septième art français. Une trajectoire dont Léa Drucker est aujourd’hui très fière. “À 18 ans, je trimbalais des rêves de Conservatoire et de Comédie-Française. J’avais un parcours en tête. Rien ne s’est déroulé comme prévu”, s’amuse-t-elle dans L’Obs.

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Léa Drucker “très attachée” à sa famille

Consciente du poids de son nom de famille dans l’audiovisuel français, Léa Drucker n’aurait jamais voulu s’en éloigner. “Drucker, c’est mon nom, un oncle que je n’ai aucune envie de rejeter et une famille à laquelle je suis très attachée”, assure-t-elle dans l’hebdomadaire. “Je n’avais pas conscience des difficultés bien réelles que ça pouvait amener. Sans doute me sentais-je coupable d’être privilégiée”, avance-t-elle aussi. L’actrice ne nie toutefois pas avoir peiné à prouver que sa valeur ne résidait pas dans son arbre généalogique. “La réserve, la discrétion font partie du métier. Alors quand on débarque avec un nom connu… J’ai mis du temps à me dépêtrer de ces problématiques.”

Dans L’Été dernier, Léa Drucker interprète Anne, une avocate renommée, heureuse avec son mari Pierre et leurs filles de 6 et 7 ans. Mais un jour, le fils de son époux né d’un précédent mariage, Théo, 17 ans, fait irruption dans leur vie bien rangée et emménage avec la famille. Très vite, une relation charnelle s’installe entre l’adolescent et sa belle-mère. Il révèle rapidement à son père qu’il a une liaison avec Anne, mais cette dernière nie.

Crédits photos : JACOVIDES-MOREAU / BESTIMAGE

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