Les téléspectateurs vont pouvoir retrouver Léa Drucker ce jeudi 23 décembre. L’actrice joue en effet dans le film Roxane diffusé dans la soirée sur France 3. L’occasion de revenir sur sa relation amoureuse avec le réalisateur Julien Rambaldi, qui est également le père de sa fille.
Léa Drucker, qui a célébré ses 49 ans en janvier dernier, est à l’affiche du film Roxane, diffusé ce jeudi 23 décembre sur France 3. L’occasion d’évoquer un peu la vie privée de l’actrice. En effet depuis plusieurs années, elle est en couple avec le réalisateur et scénariste Julien Rambaldi. Même si les tourtereaux sont très discrets sur leur relation, on sait qu’ils ont fait le choix de se pacser. Le 11 juillet 2014, ils sont devenus les parents d’une petite Martha. De son côté, le cinéaste de 50 ans était déjà papa de deux enfants, nés d’une précédente union. Julien Rambaldi a réalisé, en 2010, la comédie Les Meilleurs amis du monde, avec Marc Lavoine, Pierre-François Martin-Laval et Léa Drucker. Six ans plus tard, il signe le film Bienvenue à Marly-Gomont, avec Marc Zinga, Aïssa Maïga et Bayron Lebli. C’est lui aussi qui a réalisé le long-métrage C’est la vie, avec à l’écran sa compagne et Josiane Balasko, entre autres.
En 2019, Léa Drucker remportait le César de la meilleure actrice, grâce à son interprétation du rôle principal dans le film Jusqu’à la garde. Sur scène, elle assurait que « c’est en grande partie grâce » à son homme qu’elle a remporté son prix. En janvier 2020, elle avait cette fois parlé à Paris Match, de son histoire d’amour avec le père de sa fillette. « La rencontre avec Julien et ses enfants, Dino et Mia, a changé ma perception des choses. Je suis devenue optimiste sur l’amour. Je me suis autorisée à vivre ce que je m’étais plus ou moins interdit. J’ai enfin pu construire », avait-elle lancé, visiblement épanouie dans sa relation.
Une maman fière du caractère de sa fille
En 2018, la comédienne et nièce de Michel Drucker avait accepté de parler de son bout de chou, auprès de nos confrères de Version Femina. « En devenant mère, il y a trois ans, j’ai ressenti le besoin de montrer une certaine forme de responsabilité. J’étais quelqu’un de très pessimiste, jusqu’à ce que je rencontre mon compagnon et que nous ayons un enfant. Quand ma fille est née, j’ai pensé qu’il faudrait lui donner un prénom fort qui lui offre des armes pour se défendre », avait-elle déclaré, avant d’ajouter : « Nous l’avons appelée Martha. Certains trouvaient ça dur, mais j’étais persuadée que ça lui donnerait du caractère. Or, à 3 ans, je crois que c’est bien parti ».
Article écrit avec la collaboration de 6Medias
Crédits photos : RACHID BELLAK / BESTIMAGE
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