C’est toujours la guerre entre Nabilla Vergara et le responsable d’une agence de location immobilière de luxe. L’influenceuse, installée à Dubaï, avait révélé sur ses réseaux sociaux la semaine dernière être en conflit avec The Address, une société à laquelle elle avait fait appel pour louer un appartement à Paris, ville choisie pour mettre au monde son deuxième enfant. « Une escroquerie incroyable », comme elle l’avait décrite à ce moment-là.
L’affaire a pris une telle ampleur que TV Mag a interrogé le patron de l’agence pour avoir sa version des faits. Alors que la star annonçait qu’elle avait payé pour un appartement dans lequel elle n’a jamais pu loger, puisque les propriétaires « ne savaient même pas que quelqu’un devait arriver », Olivier Tomas, le fondateur, a une version tout autre.
Il explique avoir été contacté par « l’assistant de Nabilla (…) pour trouver un appartement à louer pendant au moins un mois à Paris ». N’ayant, à cette époque, « rien à leur proposer qui pouvait correspondre à leur cahier des charges », il a joint « un confrère agent immobilier et concierge » qui avait la perle rare. Après approbation de Nabilla, malheureusement, le propriétaire des lieux s’est désisté avant de signer le contrat locatif.
Menaces, chantage et contrat
Bien loin de prendre les choses à la légère, Olivier Tomas a remué ciel et terre, selon lui, pour trouver un appartement de remplacement pour la star et lui a proposé « encore mieux et même moins cher ». Cependant, il n’a obtenu « aucune réponse » de la part du couple.
« J’ai reçu, quelques jours plus tard, un appel d’une copine de Nabilla, une avocate de Marseille, qui m’a hurlé dessus pour me demander le remboursement de l’argent versé avec, en plus, le double de la somme en dommages et intérêts. En cas de refus de ma part, toute l’affaire allait être racontée sur les réseaux sociaux. Il était hors de question que j’accepte ce genre de procédés », a-t-il expliqué dans TV Mag.
La situation a empiré puisque Thomas Vergara s’en est visiblement mêlé. L’agent immobilier affirme avoir « reçu un message téléphonique, avec photos à l’appui, du mari de Nabilla avec des menaces de mort contre moi, mes collaborateurs et mes enfants. Il me disait avoir payé 15.000 euros des gens pour mettre un contrat sur notre tête ». Olivier Tomas a donc préféré remettre tous ces échanges, dûment enregistrés, à son avocat. Il ajoute n’avoir « évidemment aucun souci » pour leur rendre leur argent, mais il refuse de « verser 20.000 euros en plus » et « souhaite également qu’elle fasse un correctif sur ses réseaux sociaux ».
Depuis, Nabilla a accouché d’un petit Leyann, et les deux parties auraient fini par reprendre contact afin de régler le conflit.
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