L’équipe de Camping Paradis était, ces derniers jours, à Morzine en Haute-Savoie. Mais comme l’a annoncé Laurent Ournac, avec « le coeur gros », le tournage de cet épisode spécial a dû être stoppé en raison du coronavirus.

Le monde de la télévision doit lui aussi faire face à l’épidémie de coronavirus. Plusieurs tournage d’émissions ont été annulés (dont celui d’Intervilles, qui devait être initialement diffusé l’été prochain sur France 2), et ceux des feuilletons quotidiens ont logiquement subi le même sort. Compte tenu du nombre de personnes impliquées, pas question de continuer à tourner Plus belle la vie ou son rival de TF1, Demain nous appartient. Mais d’autres séries, plus événementielles, étaient aussi en cours de tournage. Depuis un peu moins d’un semaine, l’équipe de Camping Paradis tournait un épisode spécial dans les Alpes. Laurent Ournac, qui avait posté plusieurs photos de lui au ski, a malheureusement annoncé qu’il devait rentrer chez lui ce lundi 16 mars : « Les conditions actuelles nous ont amené à stopper les tournages de Camping Paradis, un épisode spécial à Morzine dans la neige. Sage décision de notre production avec les équipes. Je pense à eux, acteurs, producteurs, techniciens. C’est dur quand tout s’arrête net. »

Laurent Ournac obligé de rentrer à la maison

Le comédien a confié à ses abonnés sur Twitter que lui et son équipe avaient dû « tout ranger le cœur gros en quelques heures, après des semaines de préparation, une semaine de tournage de dingue ». Un « retour à la réalité terrible » pour Laurent Ournac, qui a depuis retrouvé son domicile. Et comme tous les Français, il est fermement invité à rester chez lui. Mais il il lui est difficile de faire une croix sur les charmes de la montagne, où il pensait pouvoir déguster les délicieuses spécialités savoyardes. Neuf heures après ses premiers messages, l’acteur a confié à ses abonnés qu’il était déçu de ne pas avoir pu se faire plaisir : « Nous voici chez nous. En me levant ce matin à 6h je pensais tourner dans un resto d’altitude à Morzine avec du reblochon et pommes de terre. Finalement, ce fut une fin de film et un retour express à domicile, a-t-il regretté. Ça, COVID-19, je ne te le pardonnerai pas : le reblochon c’est sacré ! »

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