Karine Le Marchand, qui présentera ce soir sur M6 un nouveau numéro d’Une ambition intime, s’est confiée sur son parcours du combattant pour devenir maman de sa fille Alya.

Elle affiche toujours un large sourire, pourtant, tout n’a pas toujours été rose pour Karine Le Marchand. Ce soir, sur M6, l’animatrice de 51 ans recevra les confessions de l’humoriste Gad Elmaleh dans Une ambition intime… mais avant cela, c’est elle qui s’est prêtée au jeu des confidences pour le média en ligne Brut. Et la grande amie de Stéphane Plaza a évoqué plusieurs sujets très personnels, parmi lesquels… les difficultés qu’elle a rencontré pour tomber enceinte de sa fille Alya, née en 2003. « Comme beaucoup de personnes, je n’arrivais pas à tomber enceinte, explique-t-elle dans une vidéo publiée sur les réseaux sociaux. Donc j’ai fait plein d’examens, et je suis tombée sur plein de médecins qui m’ont dit des choses atroces avec plus ou moins de tact, raconte l’animatrice.

« Pendant longtemps, je pensais que j’étais stérile« 

L’animatrice de M6 poursuit, soulignant l’importance du moment où elle a décidé de lâcher prise : « Pendant longtemps, je pensais que j’étais stérile. Et puis finalement, j’ai été opérée. J’ai tout arrêté. Et comme souvent, quand on lâche aussi là [elle montre sa tête, ndlr]... je suis tombée enceinte sans le savoir. » Karine Le Marchand raconte avoir subi « deux années de traitements assez intensifs et de doutes ». « Je ne me voyais pas ne pas être maman… Tout ce parcours du combattant pour devenir maman m’a fait prendre conscience que finalement, devenir parent, ça pouvait être quelque chose de très viscéral. Et je me suis dit : Personne n’a le droit de décider pour quelqu’un d’autre s’il a le droit, ou pas, d’avoir un enfant. »

« C’était l’époque où quand on défilait, il fallait faire la gueule et moi, je rigolais tout le temps. »

Son installation à Paris et la vie de mannequin, ses difficultés à tomber enceinte, le début de sa thérapie… Ces moments ont changé la vie de @KarineLMOff. Elle raconte. pic.twitter.com/L5SwaZ3STb

Une expérience personnelle qui explique son engagement dans d’autres combats

Attachée à l’idée que devraient pouvoir devenir parents ceux qui le veulent, Karine Le Marchand poursuit : « Moi qui suis issue d’une famille de femmes, où je n’avais pas de père, la violence du discours « un papa, une maman », je le prenais aussi de plein fouet. Parce que ça veut dire quoi, que je ne suis pas équilibrée parce que je n’ai pas eu de papa ? Je pense que si.« 

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