Philippe Labro, fidèle ami de Johnny, a assisté à sa mise en bière. Un souvenir frappant et des images qu’il aurait préféré ne pas voir… Le parolier et journaliste raconte ce jour particulier.

Philippe Labro : sa naissance grâce à Johnny

Des souvenirs avec le rockeur, Philippe Labro en a une panoplie. Sans Johnny, il est convaincu qu’il n’aurait pas été le parolier qu’il est aujourd’hui. En 1970 et 1971, il devient le premier à écrire les textes d’un album entier du Taulier, l’opus Flagrant Délit.

On lui doit notamment le texte du titre Oh ! Ma Jolie Sarah. « Johnny, lui, m’a appris ce qu’est une chanson. Et ce n’était pas simple. Il fallait s’adapter à sa vision du public, il avait comme Piaf, une vraie intuition du public« , a-t-il expliqué.

En outre, Philippe Labro confie qu’il ne croit pas aux « amitiés supplémentaires« , mais « complémentaires« . Sa relation avec Johnny en est un parfait exemple. 

« Johnny est pratiquement mon contraire »

« Toute amitié est intéressante, mais il vaut mieux être ami avec quelqu’un qui n’est pas du tout comme vous, qui vient d’ailleurs, qui a eu le manque d’éducation qu’il a eu (…) Il  est pratiquement mon contraire. C’est intéressant de se rapprocher des gens contraires, car ils vous apportent plus que des gens qui vous ressemblent », a-t-il expliqué au micro de RTL.

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Et de conclure en rendant hommage à son ami : « Johnny, on l’appelait:  ‘la bête’. C’était un physique extraordinaire, une ténacité, une capacité de faire face à tout, et à tous les excès« .

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