Dans la série documentaire Johnny par Johnny, disponible depuis ce 29 mars sur Netflix, l’idole des jeunes y est raconté à travers sa musique, ses films et ses amours. Parmi les histoires médiatiques qu’a connues Johnny Hallyday, celle avec Nanette Workman avec qui il a plus d’une fois testé ses limites.

Idole des jeunes, chanteur moqué puis reconnu et même vénéré par ses fans de la première heure… Tout au long de sa carrière, Johnny Hallyday a bousculé les foules et les cœurs des femmes. Sylvie Vartan, Adeline Blondieau, Nathalie Baye, Laeticia Hallyday… Jean-Philippe Smet, de son vrai nom, a eu des compagnes officielles, des épouses, mais aussi des maîtresses. Des liaisons bien souvent médiatisées au grand dam de celles qui partageaient sa vie. Le taulier en a même vécu une dans la vie et sur scène avec Nanette Workman, alors qu’il était marié avec la mère de son fils David Hallyday. Une femme que le rédacteur en chef de Paris Match Patrick Mahé décrit comme ayant « la beauté du diable », dans la série Netflix intitulée Johnny par Johnny, disponible depuis ce 29 mars. « Elle a un certain goût pour les produits interdits à l’époque ».

On y découvre qu’avec la chanteuse américaine, qui l’accompagnait sur scène lors de sa tournée Johnny Circus, en 1972, l’artiste partage sa passion pour la musique, mais aussi le goût du risque. « Une aventure qui a dû s’étendre sur deux » et « qui n’a pas été vraiment reçue par les Français parce qu’il était encore marié. Il y avait ses fans qui n’aiment pas bien ça« , raconte son ancienne maîtresse dans la série documentaire.

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Les révélations de Johnny Hallyday sur sa consommation de drogue

Ensemble, ils testent leurs limites. Ils se lancent des défis « où ils se font chacun des lignes et ils vont se déglinguer un peu tous les deux ». « Il n’y avait qu’une seule règle : c’est qu’il n’y avait aucune règle », souligne Gilles Lhote, le biographe du chanteur. Le risque, l’envie de plaisir et d’extrêmes les poussent même à jouer à la roulette russe avec une balle dans l’arme utilisée. Dans un extrait de son interview accordée à Sept à Huit, Johnny Hallyday raconte avec le sourire ces fois où, à deux, ils ont aimé frôler la mort : « Et heureusement, la belle n’était pas dans le bon trou ». « C’est l’état d’urgence, c’est l’état de danger qui me fait travailler », assure la star dans une autre interview.

Dans un entretien accordé au journal Le Monde en 1998, l’interprète du titre Le survivant se confie sur sa dépendance à la cocaïne : « La cocaïne, j’en ai pris longtemps en tombant de mon lit. Maintenant, c’est fini. J’en prends pour travailler, pour relancer la machine. Je n’en suis pas fier, c’est ainsi, c’est tout ». Quant à son rapport à la mort, il racontait dans son autobiographie Destroy : « L’impression d’être un survivant ne me quitte plus guère. Je suis comme ces grands malades qui ne se battent plus que pour ne pas mourir ».

Crédits photos : Capture d’écran Netflix / Johnny by Jonnhy

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