Si les personnels hospitaliers et les autorités ne cessent de répéter qu’il faut rester au maximum chez soi afin de sauver des vies, le message n’est pas passé chez Jean-Luc Lahaye. Le chanteur, opposé au confinement, continue d’aller voir ses amis comme si de rien n’était.
« Restez chez vous » : tel est le message transmis depuis le début du confinement par les autorités, les personnels soignants et tous ceux qui veulent lutter efficacement contre le Covid-19. Limiter au maximum ses déplacements permettant de freiner la propagation du virus et éviter l’engorgement des hôpitaux, la plupart des Français respecte les règles. Mais d’autres, comme Jean-Luc Lahaye, ne l’entendent pas de cette oreille. Invité ce lundi 27 avril dans le live Facebook de Welcome, le magazine de Mario Barravecchia, le chanteur a rejeté l’idée même du confinement. « Tu es confiné à Paris, Jean-Luc ? », lui a demandé l’ancien élève de Star Academy en début d’émission. « J’habite Paris, oui. J’ai horreur de ce mot, “confiné”. C’est vraiment un truc pour les boîtes de conserve… Moi, je vis ma vie normalement, lui a répondu l’artiste. Le confinement, je considère que c’est une immense supercherie. Ça ne regarde que moi, ça n’engage que moi. »
Jean-Luc Lahaye déçu de ne plus pouvoir sauter en parachute
Le chanteur a assuré qu’il ne respectait absolument pas les consignes émises par le gouvernement : « Je vis ma vie, je sors en bécane… Je mets un masque, parce que je joue le jeu du masque. Mais point barre. Sinon ça ne m’empêche pas de sortir, de voir mes potes et de voir mes enfants. » Une révélation qui n’a étonnamment pas troublé Mario Barravecchia : « Ecoute, tu as bien raison », lui a-t-il répondu, avant de lui demander de se confier davantage sur le sujet. « Je ne fais plus de parachutisme et de chute libre parce que le club est fermé, évidemment. Ce que je déplore terriblement… », a alors ajouté Jean-Luc Lahaye, avant d’expliquer pourquoi il ne voulait pas rester chez lui comme la plupart des Français : « Avec ce confinement, j’ai l’impression de perdre un temps précieux. Je n’ai plus 20 ans. J’ai l’impression qu’on enlève des mois à ma vie, là. »
Jean-Luc Lahaye, visiblement très agacé par le mot « confinement », a également détaillé ce qui lui déplaisait avec ce terme : « Moi qui suis quelqu’un épris de liberté, je considère que ce mot engage un contrôle permanent de nos déplacements. C’est un mot générique qui me déplaît. Etre confiné, en deux mots, c’est encore pire : con fini, même ! On a l’air de cons finis ! Ce mot, je l’exècre. » Bien conscient que sa vision des choses n’est pas celle de la majorité, il n’a pourtant pas l’intention de changer de comportement : « Pardon pour pour ceux qui qui veulent rester dans le cadre, j’imagine qu’il y en a. Moi, j’ai toujours fait du hors-piste dans ma vie et m’obliger à rester enfermé chez moi, c’est impossible, a-t-il assuré. Il vaut mieux me mettre en prison. » Au-delà du troisième non-respect du confinement dans les trente jours, les réfractaires risquent jusqu’à 3 750 euros d’amende et six mois d’emprisonnement.
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