TF1 consacre sa soirée à Jean-Luc Delarue, ce mercredi 24 août, 10 ans après la mort de l’animateur à l’âge de 48 ans.

Le 23 août 2012, il y a pratiquement 10 ans jour pour jour, le monde de la télévision était en deuil en apprenant la mort à l’âge de 48 ans de Jean-Luc Delarue. Ce mercredi 24 août à 21 heures, TF1 propose un documentaire qui retrace la vie et la carrière de l’animateur. Pour l’occasion, Télé Star vous propose de revenir sur les derniers mois de Jean-Luc Delarue et de découvrir notamment comment l’animateur est mort.

Le 2 décembre 2011, Jean-Luc Delarue annonce, lors d’une conférence de presse organisée au siège de France Télévisions, qu’il souffre d’un cancer. Après plusieurs mois de lutte, l’animateur meurt dans la matinée du 23 août 2012 dans une chambre de l’hôpital américain de Neuilly des suites d’un cancer de l’estomac et du péritoine. Il n’avait que 48 ans. Il est enterré au cimetière de Thiais, dans le Val-de-Marne. Sa sépulture est située dans une division du cimetière où sont regroupés des caveaux de familles musulmanes. Peu de temps après sa mort, son père a révélé que son fils s’était converti à l’islam. Une information démentie par Anissa, sa dernière épouse.

Mort de Jean-Luc Delarue : pourquoi une guerre d’héritage a éclaté à la mort de l’animateur ?

Dans son testament, rédigé quelques mois avant sa mort, Jean-Luc Delarue avait décidé de léguer ses biens immobiliers et la majorité des pièces de sa collection d’art à Anissa Khelifi, sa dernière épouse. L’animateur a légué le reste, et notamment sa société Réservoir Prod ainsi que la moitié des biens immobiliers, à son fils Jean Delarue-Bost, âgée alors de 6 ans. Jean-Luc Delarue choisit également un mandataire en la personne d’Arnaud Garchy, son ancien attaché de presse. Ce dernier doit gérer les biens au nom et pour compte de son fils jusqu’à la majorité de celui-ci. Dans son testament, l’animateur stipule que la mère de Jean, Élisabeth Bost, "n’aura ni l’administration légale ni la jouissance des biens qu’il reccueillerait dans ma succession, lesquels seront administrés, jusqu’à la majorité ou l’émancipation de Jean, par Arnaud Garchy". Élisabeth Bost amène alors cette affaire devant la justice où elle perd car le motif du mandat, la minorité de Jean, est, selon la loi, un intérêt légitime et sérieux.

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