Alors que Jean-Jacques Bourdin a été licencié par le groupe médiatique détenant RMC et BFMTV, les chroniqueurs de Touche pas à mon poste sur C8 sont revenus, le 20 juin 2022, sur les possibles indemnités que le journaliste pourrait toucher dû à son licenciement.

  • Jean-Jacques Bourdin

Depuis 2001, il était la voix emblématique de RMC. Six ans plus tard, c’est sur BFMTV, que Jean-Jacques Bourdin est arrivé pour mener les interviews politiques. Mais voilà qu’en 2022, le journaliste est écarté de la radio et de la chaîne d’informations en continu, détenues par le même groupe médiatique Altice. Visé par des accusations de tentative d’agression sexuelle de la part d’une ancienne présentatrice météo, Fanny Agostini, l’époux d’Anne Nivat avait été mis sur la touche. Mais le vendredi 17 juin 2022, le groupe Altice a pris la décision de licencier Jean-Jacques Bourdin, comme le précise son communiqué. « En raison des événements intervenus et portés à la connaissance de la Direction au cours de l’année 2022, la Direction a décidé de mettre un terme au contrat de travail de Monsieur Jean-Jacques Bourdin et ainsi cesser toute collaboration« , a indiqué le groupe.

« On m’a parlé d’une somme autour des 500.000 euros »

Une décision qui n’est pas sans conséquence pour le journaliste qui pourrait bien recevoir de belles indemnités suite à ce licenciement. Le lundi 20 juin 2022, Cyril Hanouna et ses chroniqueurs sont revenus sur ce dossier dans leur émission Touche pas à mon poste, diffusée sur C8. Ainsi, Gilles Verdez s’est penché sur le sujet des indemnités que pourrait recevoir Jean-Jacques Bourdin : « La somme qu’il va toucher est très conséquente. Plusieurs centaines de milliers d’euros« , commence-t-il par déclarer avant de poursuivre : « On m’a parlé d’une somme autour des 500.000 euros« , a-t-il déclaré, précisant tout de même que cette somme pourrait être vue à la hausse. De son côté, Guillaume Genton a également indiqué que le licenciement du journaliste avait également été acté pour des raisons de salaire bien trop élevé pour le groupe : « Elle [la direction ndlr.] aurait un autre argument : le salaire très conséquent du journaliste. Un salaire à six chiffres annuel. Il coûtait très très cher au groupe. C’est peut-être pour ça que la direction a voulu se séparer de lui« , a-t-il lancé.

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