Depuis plusieurs mois, Audrey Fleurot porte la série de TF1 HPI, qui réalise des audiences historiques. Un succès qui l’a hisse aujourd’hui au rang de femme de l’année par Télé 7 Jours. Face à cette nouvelle, l’actrice peu à l’aise devant tant de compliments s’est montrée gênée.

Seize ans après son passage dans Kaamelott, Audrey Fleurot illumine le petit écran. Si elle brille dans les salles obscures, l’actrice offre ses plus belles prestations à la télévision, du Bazar de la Charité (2019) à HPI (2021). Dans la peau du personnage de Morgane Alvaro depuis le printemps dernier, la comédienne séduit le public et permet à la série de TF1 dont elle est « l’âme de séduction massive » de réaliser des audiences historiques. « Inspirante, authentique et populaire », Télé 7 Jours lui a décerné le titre de femme l’année. Un prix qui s’il lui procure un sentiment de fierté, la gêne tout autant.

Face aux compliments, Audrey Fleurot est quelque peu mal à l’aise, comme elle le détaille dans les colonnes du magazine télé : « Je ne suis pas très à l’aise, au point de paraître distance, alors que je suis très touchée. Je me dis parfois : ‘Mais merde, je ne suis pas sympa, je n’ai pas pris le temps !’. » En réalité, derrière les traits de cette personnalité confiante, sommeille une femme « super timide ».

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Audrey Fleurot : ses points communs avec son rôle dans HPI

Dans la série HPI, qui raconte l’histoire d’une femme à haut potentiel intellectuel, repérée par la police de Lille, qui lui offre un poste de consultant, Audrey Fleurot fait des étincelles. Acclamée par le public, comme par la critique, son interprétation séduit. Un « coup de foudre » pour le personnage partagé entre la comédienne et les téléspectateurs, qui sont onze millions à prendre place sur leur canapé à chaque diffusion. Grâce à ce rôle, proche de sa personnalité, l’actrice peut « montrer des choses plus personnelles » : « J’ai la chance de pouvoir parler à travers elle. Les comédiens se cachent beaucoup derrière leur personnage. Comme elle, je suis hypersensible. Elle se protège derrière son côté grande gueule et haut en couleur. Cette carapace, je l’ai portée. »

Crédits photos : Bruno Bebert / Bestimage

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