Le malaise était palpable en plateau. Alors que Mathilde Seignet était invité dans "Quotidien" dans le cadre de la pièce de théâtre "Bungalow 31" cette dernière a signifié à Yann Barthès qu’elle n’avait jamais été invitée dans le talk-show auparavant…

Alors que Michel Drucker était l’invitée de C à vous et que Sophie Davant était quant à elle présente sur le plateau de Touche pas à mon poste,  ce jeudi 7 septembre 2023, Mathilde Seignet était de son côté conviée sur le plateau de Yann Barthès dans Quotidien.

Invitée du talk-show pour faire la promotion de la pièce théâtre Bungalow 21 dont elle partage l’affiche avec sa sœur Emmanuelle Seigner, l’actrice a fait savoir à l’animateur incontournable du programme que c’était la première fois qu’elle avait l’honneur d’être invitée dans l’émission…

« Je ne suis jamais venue, c’est la première fois que vous m’invitez », a-t-elle déclaré quelques instants après son arrivée sur le plateau. Des déclarations qui ont laissé Yann Barthès quasiment sans voix. Ainsi, cette dernière a poursuivi : « Non mais je le dis quand même, je n’ai jamais été invitée en sept ans ! »

Des propos qui ont finalement fait réagir l’animateur qui s’est défendu en indiquant que sa sœur, Emmanuelle Seigner, avait quant à elle été invitée à de nombreuses reprises par la production du programme quotidien. Une réponse qui n’a pas forcément fait plaisir à l’invitée du jour qui a maintenu : « Bah oui, mais moi non. Je ne dois pas plaire à ce genre d’émission », a-t-elle déploré face à un Yann Barthès complètement mortifié par la situation.

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Malaise en plateau

À peine quelques minutes plus tard, un nouvel échange malaisant s’est reproduit à l’antenne. Alors que Yann Barhès a demandé à la comédienne de 55 ans comment elle faisait pour jouer tous les soirs avec sa sœur, cette dernière a instinctivement répondu « Ah ça c’est une jolie question »… De quoi quelque peu vexer son interlocuteur. La preuve, ce dernier a aussitôt lâché : « Elles sont pourries celles que je vous ai posé juste avant ? »… Mais contre toute attente, Mathilde Seigner ne s’est pas débinée : « Oui, elles étaient assez pourries ». Ambiance…

L.Z.

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