Dans les colonnes de Point de vue, en kiosques ce mercredi 23 février, Victoria Abril est revenue sur la douloureuse période du confinement de mars 2020. Pour l’actrice, être considérée comme « non essentielle » a été une véritable épreuve.

Le confinement de mars 2020 a mis les nerfs des Français à rude épreuve. Et les acteurs n’ont pas été épargnés. Avec les mesures sanitaires et la fermeture des cinémas, les tournages de films ont subi pendant plusieurs mois pendant plusieurs mois. À l’occasion d’un entretien à Point de vue, en kiosques ce mercredi 23 février, Victoria Abril s’est confiée sur cette douloureuse période marquée par les débuts de l’épidémie de Covid-19. « Je n’avais plus de raisons de me lever. Je n’avais plus envie de vivre », a déclaré l’actrice de 62 ans, révélant que la distanciation sociale l’a fait « mourir mentalement ».

Durant ces quelques mois du printemps, Victoria Abril a « très peu vu » ses deux fils Félix et Martin et sa mère. Un éloignement très difficile à vivre. « J’ai fait une dépression profonde pendant cette pandémie, suivie d’une crise existentielle – surtout quand on te jette à la face que ta raison de vivre est ‘non essentielle’. Je n’allais pas partir à la retraite tout de même ! J’avais perdu le nord », a-t-elle expliqué à nos confrères de Point de vue. Pour se ressourcer, la comédienne née à Madrid est retournée « se soigner » à Malaga, où elle a grandi avec sa mère infirmière, son frère Jésus et sa sœur Marie-Isabel. Au programme : ni télévision, ni de réseaux sociaux, ni Internet. À la place, la comédienne espagnole a redécouvert le plaisir de la mer, du soleil et des voisins. « J’ai débranché. Je me suis reconstruite avec des choses simples, organiques« , a-t-elle affirmé, précisant avoir remonté la pente en travaillant d’arrache-pied pour les besoins du jeu culinaire MasterChef Celebrity en Espagne.

Les propos chocs de Victoria Abril sur le Covid-19

Ce n’est pas la première fois que Victoria Abril s’exprime au sujet de la crise sanitaire. L’héroïne de Gazon maudit (1995) a suscité la polémique en février 2021 après des propos controversés sur le Covid-19. Lors d’une cérémonie de remise de prix dans la capitale espagnole, la Madrilène a refusé de porter un masque, assurant en avoir « marre de cette farce » et de « vivre dans la peur ». L’occasion de pousser un coup de gueule contre la vaccination. « On ne sait pas quels en sont les effets. Il y a plus de morts avec le vaccin que sans le vaccin », a-t-elle estimé, tout en clamant que le Covid-19 n’est pas si mortel qu’on ne le dit, d’après des propos rapportés à l’époque par La Vanguardia.

Article écrit avec la collaboration de 6Medias.

Crédits photos : Zuma Press / Bestimage

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