Ce jeudi 1er juillet, Virginie Efira s’est livrée sans aucun filtre à Paris Match. L’actrice à l’affiche de Benedetta a évoqué les nombreux complexes qu’elle a pu ressentir au cours de sa carrière.

Virginie Efira

Niels Schneider

La vie sourit à Virginie Efira. Maman fière d’une petite Ali, compagne aimée de Niels Schneider et actrice accomplie, difficile de trouver un défaut dans la vie de la comédienne. Consciente d’être particulièrement chanceuse, l’actrice à l’affiche de Benedetta s’est confiée dans les colonnes de Paris Match ce jeudi 1er juillet. Concernant sa relation avec Niels Schneider, l’actrice affirme avoir changé son fusil d’épaule, elle a qui toujours pensé que l’indépendance faisait le ciment des couples. “Nous avons emménagé ensemble depuis un bon moment. Nous vivons une belle histoire qui ne souffre pas du quotidien en commun, qui ne s’étiole pas”, rapporte l’ancienne présentatrice de La Nouvelle star.

Un homme qui l’a aidée à remonter la pente pendant le confinement, lorsqu’elle a vécu “des moments proches de la déprime”. “J’ai voulu écrire : impossible. Je ne parvenais pas à me discipliner, j’avais perdu toute énergie. Je ne faisais plus partie de rien. J’ai n’ai pas tourné pendant un an et je me suis rendu compte à quel point c’est essentiel à mon équilibre”, rapporte Virginie Efira.

« Je me suis convaincue que j’étais valable »

Artiste et femme accomplie, celle qui incarne une nonne homosexuelle au cinéma a pourtant nourri “tous les complexes possibles” au cours de sa carrière. “Celui de l’infériorité intellectuelle, celui de la Belge qui arrive en France, de la blonde avec des formes alors que j’aurais voulu être Charlotte Gainsbourg, de l’animatrice de télévision qui débarque au cinéma”, énumère-t-elle. Virginie Efira le reconnaît, elle aurait pu “se complaire dans la dévalorisation”. “A un moment je me suis convaincue que j’étais valable. Mon pouvoir, ça a été de croire, avec et malgré tant de doutes, non pas que j’allais réussir mais que j’allais trouver un chemin vers mon bonheur. Il y a eu de la chance, des regards aimants, mais c’est parce que j’y ai cru que cela a existé”, termine la comédienne. Le secret du succès.

Source: Lire L’Article Complet