Au cours d’une entrevue accordée à Sud Ouest, ce lundi 18 juillet, Bixente Lizarazu s’est confié sur un problème de grande importance : les incendies qui touchent la Gironde depuis plus d’une semaine. Une mésaventure environnementale qui a beaucoup touché le sportif de 52 ans.
17 000. Comme le rapporte France Bleu ce mardi 19 juillet, cela correspond au nombre d’hectares brûlés depuis plus d’une semaine en Gironde. Une triste mésaventure environnementale concernant laquelle Bixente Lizarazu – actuellement présent à Londres pour l’Euro féminin – s’est épanché auprès de Sud Ouest, lundi 18 juillet. « Rendez-vous compte, malgré le travail remarquable des pompiers, cela fait une semaine que ça dure. C’est dingue« , a-t-il d’abord indiqué.
« En tant que mec du Sud-Ouest, je suis choqué de voir partir en fumée cette forêt des Landes qui est le poumon de notre région, celui de mon enfance aussi« , a ensuite précisé le commentateur sportif, avant de conclure : « J’ai des potes qui ont dû être évacués, alors je voudrais manifester mon soutien à tous ceux qui sont directement concernés par ce qui ressemble fort à l’incendie du siècle. »
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Bixente Lizarazu, marqué par une mauvaise nouvelle
Dernièrement, et comme l’avait précisé France info le 5 juillet dernier, le club des Girondins de Bordeaux avait été rétrogradé en National 1 en raison de nombreuses difficultés financières. Ce qui avait profondément marqué Bixente Lizarazu – qui avait intégré le club en 1989 – et qui, à nos confrères, avait partagé son ressenti sur cette fâcheuse nouvelle.
« C’est un désastre depuis la vente de M6, avec d’abord la gestion américaine de GACP avec ces fameux fonds de pension et puis ensuite la gestion de Gérard Lopez. Ces gens-là, on se demande comment ils ont racheté le club, en tout cas ils étaient assez malins pour le racheter mais pas pour le gérer« , avait-il d’abord lâché, avant de poursuivre, inquiet : « Aujourd’hui le club peut disparaître, très clairement. Le maire de Bordeaux parlait d’une petite chance mais une décision comme celle-là, je ne vois pas où est la petite chance encore, même si je l’espère. Mais s’ils ont pris cette décision c’est que la situation financière est vraiment catastrophique. »
Crédits photos : Denis Guignebourg / Bestimage
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