Alors qu’Elizabeth II pourrait demander au prince Harry d’abandonner les patronages qu’il assurait en tant que représentant de la famille royale, ce dernier se montrerait très peiné. Une situation qui n’a pas échappé à l’éditorialiste Rod Liddle, qui s’en est vivement pris au frère de William et à son QI dans une tribune publiée par le Sun ce mercredi 17 février.

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  1. Harry d’Angleterre

Le 14 février dernier, aux anges, Harry et Meghan Markle profitaient de la Saint-Valentin pour annoncer l’arrivée prochaine de leur deuxième enfant. Une bonne nouvelle n’arrivant jamais seule, la presse américaine dévoilait que les Sussex avaient enregistré une émission télévisée avec Oprah Winfrey dont la diffusion est prévue pour le 7 mars prochain. Une annonce qui aurait fait bondir Elizabeth II qui, décidée à les punir, entend leur demander d’abandonner leurs patronages… au grand dam d’Harry. Une situation qui n’a pas manqué d’amuser le célèbre éditorialiste britannique Rod Liddle, qui s’en est pris au prince dans une tribune pour le Sun.

Considérant que les mesures de représailles prises par la reine ne sont une surprise que pour Harry, le journaliste ironise : « il est un peu épais. Niveau QI, il ferait passer le prince Andrew pour Stephen Hawking« . Loin de s’arrêter-là, Rod Liddle, qui ne porte pas le duc de Sussex dans son cœur, ajoute alors : « Il est aussi dispersé que des diamants mal vissés à la Couronne« .

Harry et Meghan Markle, acculés ?

D’après leurs proches, cités par le Mirror, les parents du petit Archie sont « résignés à perdre les patronages« . Reste à savoir à qui Elizabeth II attribuera ces derniers. Si le prince William devrait naturellement hériter des titres militaires honorifiques de son cadet, la princesse Anne a également été citée. De leur côté, Charles et Camilla Parker-Bowles pourraient obtenir le patronage du National Theater, offert à Meghan Markle en 2019. Et pour cause ! L’ancienne actrice n’aurait pas véritablement été à la hauteur des espérances des membres du conseil d’administration de l’organisation.

« Il y avait une grande excitation lorsque Meghan a succédé à la reine, mais son manque d’action pour le théâtre et l’industrie dans son ensemble alors que la crise sanitaire nous a fait du mal nous empreint de tristesse », ont-ils déploré dans les colonnes du Mirror. Si les affiliations du couple avec des organisations du Commonwealth seraient également menacées, il devrait cependant conserver certains parrainages privés à l’instar des Invictus Games, de WellChild et Sentebale pour Harry ou Mayhew et Smart Works pour Meghan Markle. La reine devrait s’exprimer à ce sujet avant le 31 mars prochain assure par ailleurs une source royale. Affaire à suivre…

Crédits photos : Agence / Bestimage

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