Discrète sur sa vie privée, Hélène Rollès s’est confiée sur ses enfants, pour qui elle a pris une décision liée à sa carrière.

Voilà plus de 30 ans qu’Hélène Rollès est dans le cœur des Français, héroïne de la série devenue culte Hélène et les garçons. Depuis, elle n’a pratiquement pas quitté le petit écran, ni son personnage d’Hélène dans les nombreuses séries dérivées, du Miracle de l’amour jusqu’aux Mystères de l’amour, encore à l’antenne aujourd’hui sur TMC. Le mercredi 22 janvier 2020, la chaîne a d’ailleurs diffusé un documentaire inédit intitulé Dorothée, Hélène et les garçons : Génération AB Productions !, dans lequel les nostalgiques de ces fictions qui ont bercé leur adolescence ont pu découvrir de nombreux secrets de fabrication de cette saga et cette success story télévisuelle unique. Saviez-vous par exemple que Mallaury Nataf avait entretenu une relation sentimentale avec l’un des acteurs de Hélène et les garçons, à l’époque où elle était elle-même la tête d’affiche du Miel et des abeilles ? Connaissiez-vous l’autre nom qu’a failli avoir Hélène et les garçons ? Ou encore, saviez-vous que Hélène Rollès et Patrick Puydebat (Nicolas) ne s’entendaient pas du tout au début de leur collaboration ?

En couverture du magazine TV Grandes Chaînes, Hélène Rollès s’est confiée sur ses débuts dans Hélène et les garçons. Elle est notamment revenue sur sa carrière musicale, qu’elle mène en parallèle de son métier devant la caméra, mais a aussi évoqué sa vie privée. D’ailleurs, quand on questionne la star au sujet d’un projet d’album ou d’une future tournée, ces deux derniers sujets sont intimement liés. Hélène Rollès explique en effet ne pas avoir de telles ambitions aujourd’hui pour une simple et bonne raison : « Je privilégie beaucoup mes enfants (en 2013, elle a adopté un garçon et une fille éthiopiens, frère et sœur, désormais âgés de 8 et 10 ans, ndlr). C’est un choix. Je vois tellement de gens regretter de ne pas avoir été présents auprès de leurs enfants et constater que ceux-ci grandissent trop vite. Je ne veux pas me dire ça plus tard. » Une décision de cœur, donc, justifiant son absence médiatique d’un point de vue musical.

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